- Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Les Jonquilles de Green Park ?
"Mon amie Martine est citée dans les remerciements, dans la même phrase que Louis Chedid !! Rendez-vous compte ! Je ne pouvais qu'ajouter ce livre à ma bibliothèque, toute résistance était inutile."
- Dites-nous en un peu plus sur son histoire...
"Tommy à 13 ans, à Londres, en 1940 et ce n'est pas rigolo tous les jours. Il nous raconte son quotidien entre sa mère rayonnante, son père farfelu, sa soeur adolescente (oui, c'est un très de caractère), sa bande de copains et les bombes..."
- Mais que s'est-il exactement passé entre vous?
"J'ai eu un peu de mal avec le début du livre, ça part vraiment dans tous les sens, de digression en digression. Le problème, c'est que j'ai un esprit extrêmement vagabond également et qui si l'histoire ne me happe pas complètement, j'ai du mal à me concentrer. J'ai d'ailleurs dû relire certains passages que j'avais parcouru sans rien écouter de ce qu'ils me disaient... Mais on finit par tellement s'attacher à tous ces personnages particulièrement touchants que les pages suivantes se lisent d'une traite, sans que l'on est le temps de s'en apercevoir."
- Et comment cela s'est-il fini?
"C'est joli, c'est triste aussi. C'est poétique..."
Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...
Retrouvez ma chronique d'Aide-Moi si tu Peux, du même auteur, ICI.