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Rechercher : le trône de fer

  • The Four Graces de D.E. Stevenson

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec The Four Graces ?

       "Plus je découvre D.E. Stevenson, plus j'aime ses romans, leur ambiance, sa plume. Sans compter que ces éditions sont justes sublimes alors pourquoi s'en priver ?"

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "L'histoire se déroule dans le village de Miss Buncle mais nous suivons cette fois les quatre charmantes filles du pasteur. Malgré la guerre qui fait rage et l'absence de leur mère, morte pendant leur enfance, elles mènent une vie heureuse. Du moins, jusqu'à l'arrivée de leur tante..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "On se sent comme chez soi dans ce village que l'on commence à bien connaître et dont on retrouve les habitants avec grand plaisir. J'ai adoré découvrir la vie de ces jeunes filles si semblables et si différentes à la fois, ayant chacune un caractère bien défini. Les personnages de l'auteur sont toujours hauts en couleur et c'est une nouvelle fois le cas ici avec des dialogues distrayants, des babillages sans importance et des futilités qui nous ravissent. On a tout simplement l'impression de prendre nous aussi le thé au presbytère et la place y est confortable. Bien sûr, nous n'avons que peu de doutes sur la façon dont les choses vont se terminer mais cela n'occulte en rien le charme de la lecture."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Quelques petites choses sont restées en suspend et il y a, selon moi, encore matière à retourner séjourner à Chevis Green. Malheureusement, sauf erreur de ma part, il s'agit du dernier opus de la série et je quitte donc le village à grand regret. Cela dit, ce sera l'occasion de me pencher sur un autre des écrits de l'auteur et, pour le moment, je n'ai jamais été déçue."

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques des livres de D.E. Stevenson ICI

    et la chronique de Celia's House, réécriture de Mansfield Park, sur Jane Austen is my Wonderland

     

    Alors, vous craquez pour "The Four Graces" ?

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  • The Baker's Daughter de D.E. Stevenson

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec The Baker's Daughter ?

       "Je suis littéralement amoureuse de ces couvertures et heureusement, les histoires de D.E. Stevenson sont toujours à la hauteur parce que même sans ça, je crois que je serais capable de les acheter ! C'est donc avec bonheur que j'ai reçu celui-ci à mon anniversaire."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Depuis la mort de sa mère, Sue a arrêté l'école et s'est occupée de son frère, de son père et de la maison. Mais depuis que celui-ci s'est remarié, elle ne sait plus où est sa place et c'est pour cela que lorsqu'elle apprend que les Darnay cherche une cuisinière, elle se propose tout de suite, malgré l'isolement de leur maison et le comportement fantasque du mari, peintre."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "L'auteur nous plonge toujours dans l'ambiance de petits villages anglais bien douillets. Ici, nous sommes en Écosse mais le plaisir est évidemment le même, voire décuplé pour moi qui ne rêve que d'Edimbourg. Très vite, on se laisse entraîner par la jeune Sue qui n'a rien vu du monde et qui sait pourtant bien ce qu'elle veut, et qui est très indépendante malgré son jeune âge. Ce sont à la fois sa force et sa naïveté qui vont faire tout le charme du livre et nous entraîner de rebondissements en rebondissements. La palette des personnages est un peu moins variée que d'habitude, du fait de la vie assez isolée de Sue, mais n'en est pas moins toujours aussi variée et passionnante, avec cette plume et cet humour qui ont fait le succès de l'auteur en son temps et que je redécouvre à chaque fois avec grand plaisir. Ajoutez à cela quelques réflexions bien senties sur l'art et la peinture et me voilà conquise."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "J'ai finalement trouvé cette histoire très moderne pour l'époque - le livre a été écrit juste avant la seconde guerre mondiale - et du coup, moins attendue que ce que l'on aurait pu croire. Bien sûr, il est question d'une happy ending mais ce roman ne manque pas d'originalité pour autant. J'ai hâte de découvrir mon prochain D.E. Stevenson et j'en ai d'ailleurs déjà un autre dans ma PAL."

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques des livres de D.E. Stevenson ICI

    et la chronique de Celia's House, réécriture de Mansfield Park, sur Jane Austen is my Wonderland

     

    Alors, vous craquez pour "The Baker's Daughter" ?

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  • Les Égouts de Los Angeles de Michael Connelly

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    • harry bosch, saga harry bosch, thriller, Michael Connelly, les égouts de Los AngelesMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Les Égouts de Los Angeles ?

       "Il s'agit du premier tome de la série Harry Bosch que ma mère lit et me conseille depuis longtemps. L'effet conjugué du confinement et de l'épuisement de ma Pal a créé l'occasion parfaite de me plonger enfin dans ce roman noir."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Le corps d'un toxicomane est retrouvé dans une canalisation de Los Angeles et alors que tout le monde est prêt à classer l'affaire en overdose, Harry Bosch reconnaît un soldat qui a servi au Vietnam à ses côtés et refuse de lâcher l'enquête aussi vite..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "En général, ma maman et moi avons un goût commun pour le même genre de romans policiers et j'avais déjà vraiment aimé la série télévisée, Harry Bosch partait donc avec deux bonnes longueurs d'avance. Et effectivement, dans les premiers temps, je suis ravie d'approfondir ma connaissance du caractère et des méthodes de cet inspecteur un peu border-line. J'ai adoré la construction minutieuse du roman également, jour après jour, avec beaucoup de détails de l'enquête mais sans qu'on ne s'ennuie jamais. Je me suis fait la réflexion qu'on était bien loin de certains policiers qui tournent en rond pendant des jours et se contentent de remuer la boue en attendant qu'il en sorte quelque chose. Bosch est d'une efficacité redoutable, il agit, il analyse et il trouve. J'ai aussi été agréablement surprise de l'humour parfois incisif de l'auteur et de certains de ses personnages, plutôt malgré eux. Et pourtant, malgré tous ces points positifs, je n'ai pas ressenti le coup de coeur attendu et je pense que cela tient autant au fait que je l'attendais peut-être trop justement qu'à l'histoire en elle-même qui ne m'a finalement pas passionnée."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "J'ai été surprise par la fin et ça, dans un polar, c'est toujours très bon signe. En revanche, j'ai aussi été extrêmement déçue, à cause d'éléments de la suite de l'historie, essentiellement rattachés à la vie personnelle de l'inspecteur, que je connais par la série et du coup, de façon tout à fait surprenante, je ne suis pas sûre d'avoir envie de continuer cette saga finalement."

     

        Mlle Alice, merci, et à jeudi prochain...

     

    Alors, vous craquez pour "Les Égouts de Los Angeles" ?

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