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Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Tu Tueras l'Ange ?
"J'avais beaucoup aimé le précédent, tu tueras le père, et je ne voulais pas passer à côté de celui-ci, impatiente de retrouver les différents personnages de Sandrone Dazieri."
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Dites-nous en un peu plus sur son histoire...
"À l'arrivé d'un train en provenance de Milan, un contrôleur monte à bord et meurt avant d'avoir pu passer les portes de la première classe. C'est la commissaire adjointe Caselli qui sera la suivante à pénétrer dans le wagon pour constater que l'agent des chemins de fer n'est que le dernier d'une longue liste de personnes à avoir succomber à un gaz mortel..."
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Mais que s'est-il exactement passé entre vous?
"Comme dans le premier opus, on passe régulièrement du passé au présent et d'un personnage à l'autre dans un ensemble un peu confus. Si pour le précédent, l'enquête m'avait emportée dans son sillage, c'est ici un peu moins le cas et j'ai fini par être un peu perdue et à me contenter de lire sans chercher à raisonner en écho avec les enquêteurs. De plus, nous plongeons de nouveau dans des histoires de complots à grande échelle qui honnêtement me fatiguent un peu. Pour tout le côté policier donc, j'ai clairement moins aimé que le premier tome, en revanche, rien que pour le plaisir de retrouver Dante, je ne peux pas regretter ma lecture, j'aime décidément trop ce personnage. Le duo qu'il forme avec Colomba marche toujours aussi bien même si l'"homme du silo" est tout de même bien malmené, et plus on le connaît, plus on s'attache à lui et plus on attend de découvrir avec lui tous les secrets encore disséminés dans son passé."
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Et comment cela s'est-il fini?
"J'avoue, je commençais à me demander quand même si cette fois je lirai la suite mais avec le retournement de situation de dernière minute que je n'ai pas du tout vu venir que nous a concocté l'auteur, j'ai plus que hâte de lire le dénouement de cette trilogie. Bien joué !"
Mlle Alice, merci, et à jeudi prochain...
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dont notamment Tu tueras le père, là