"Un autre des livres qui était sur ma liste d'anniversaire et que j'ai eu la chance de me voir offrir pour nourrir mon obsession actuelle des livres qui parlent de livres."
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Dites-nous en un peu plus sur son histoire...
"Cette fois-ci, nous nous rendons essentiellement chez des particuliers pour admirer leur collection, leur intérieur et leur rapport aux livres..."
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Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?
"J'ai beaucoup aimé ce livre. Une nouvelle fois, c'est à la fois magnifique et interessant. Et déculpabilisant ! Lorsque l'une des personnes interrogées dit acheter 2 à 300 livres par mois et ne lire que 0,1% d'entre eux (en même temps, plus, ce serait étonnant), je me dis que ça va, je peux arrêter de m'en vouloir ! Il y a quand même deux éléments distincts qui font que j'ai préféré Do you read me ? Tout d'abord, ce dernier parlait de librairies dans lesquelles je pourrai peut-être me rendre un jour. Ça fait rêver. Ça entretient le rêve même. Ici, il s'agit de particuliers, et j'ai peu d'espoir de mettre un jour un pied dans l'appartement de l'un ou de l'autre. L'autre aspect que j'ai moins aimé est qu'il s'agit quand même d'un livre assez élitiste. Les personnes dont on parle sont toutes de grands architectes/designers/artistes (barrez la mention inutile), très à l'aise financièrement, qu'apparemment je suis censée connaître et qui vivent souvent dans des intérieurs dans lesquelles il me paraît évident que jamais personne n'a posé une fesse sur le canapé. Ce n'est pas le cas de tous heureusement et j'ai d'autant plus apprécié les autres."
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Et comment cela s'est-il fini ?
"Ce fut un régal, quoi qu'il en soit. Je suis ravie de l'ajouter à ma collection mais, je me répète, ce n'est pas un énorme coup de coeur comme ce fut le cas pour Do you Read Me."
Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...
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