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  • High Rising d'Angela Thirkell

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec High Rising ?

       "Je ne me rappelle plus vraiment comment j'ai découvert ce livre mais ce devait sûrement être grâce à Emjy, de Whoopsy Daisy, qui est ma référence en matière d'auteurs britanniques ! Toujours est-il que je trouvais cette édition très belle et que j'ai eu la joie de la trouver au pied du sapin."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Laura Morlan, auteur à succès de livres qu'elle juge médiocre, passe Noël à High Rising avec son dernier fils, Tony. Elle y retrouve avec plaisir ses vieux amis mais la nouvelle secrétaire de son voisin George Knox ne semble pas avoir que des intentions honorables. Laura décide alors qu'elle doit le sauver des griffes de cette harpie..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous?

       "C'était une lecture parfaite pour mes vacances à la neige. Bien au chaud prêt du feu de cheminée, j'ai eu grand plaisir à me transporter à High Rising et Low Rising et à découvrir certains de leurs habitants. Bien que je ne sois pas experte, j'ai trouvé cela tout à fait dans l'esprit de Barbara Pym, à qui l'on compare régulièrement Angela Thirkell. Les personnages sont extrêmement drôles et loufoques mais leurs discours sont également plein d'esprits. Même les longs monologues de George Knox ne m'ont pas ennuyés, moi qui saute si facilement quelques lignes quand ça traîne en longueur. C'est le genre de livre qui vous donne une furieuse envie d'aller vivre dans un petit village isolé dans l'espoir d'y rencontrer d'aussi pittoresques spécimens !"

    • Et comment cela s'est-il fini?

       "J'ai aimé cette histoire jusqu'à la dernière ligne et quitté Laura Morland avec beaucoup de regrets. C'est comme dire au revoir à ses amis à la fin des vacances... Heureusement, il me semble que certains des personnages réapparaissent dans d'autres opus de l'auteur et je n'ai pas l'intention d'attendre trop longtemps avant de le découvrir."

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...

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  • Agatha Raisin Enquête 30 - Bonnet d'Âne de M. C. Beaton

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    • m. c. beaton, Agatha Raisin, Agatha Raisin enquête, dernier Agatha Raisin, bonnet d'âne, cosy mystery, cotswoldswoldsMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Bonnet d'Âne ?

       "Il s'agit du tout dernier tome d'Agatha Raisin écrit par M.C. Beaton (aka Marion Chesney) avant sa mort, il n'était pas question que je passe à côté."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "L'agence d'Agatha a été engagée pour enquêter sur une suspicion d'espionnage industriel mais dès le début, cette histoire ne tient pas debout et la célèbre enquêtrice renifle quelque chose de louche. Alors quand la secrétaire de l'entreprise est retrouvée morte et que le légiste conclut à un accident, elle est la seule à ne pas y croire..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Comme toujours, pour un livre qui paraît léger et sans conséquences, c'est dans les petits détails qu'il faut aller chercher les leçons de vie et je trouve que M.C. Beaton fait cela très bien. Il y a vraiment de jolies choses qui se passent dans ce tome-ci, une certaine attitude de la part d'Agatha qui m'a beaucoup plue, une franchise rafraîchissante dans les propos. J'espère que l'on continuera dans ce sens. Avec tout le reste en bonus bien sûr, l'humour en tête.

       Il y avait également un sentiment particulier à lire ce tout dernier roman de l'auteur, un peu de tristesse et de regret évidemment, même si l'aventure ne s'arrête pas là et qu'il me reste encore certains de ses livres à découvrir."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Habituellement, chaque tome a une fin alors qu'ici plusieurs choses restent en suspend. Même si je reste mitigée à l'idée que quelqu'un d'autre continue la série, une chose est sûre, j'aurais été encore plus énervée que ça se termine de cette manière !"

     

        Mlle Alice, merci, et à jeudi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques des livres de M.C. Beaton ICI

    et toutes celles de la saga Agatha Raisin, par LÀ

     

    Alors, vous craquez pour "Bonnet d'Âne" ?

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  • Les Dames de Guerre - Saïgon de Laurent Guillaume

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    • les dames de guerre, saïgon, Asie, Laurent Guillaume, roman d'espionnage, reporter de guerreMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Les Dames de Guerre - Saïgon ?

       "Le fait de m'intéresser à la Corée me pousse petit à petit à m'intéresser à l'Asie dans son ensemble et le Vietnam, dont je ne sais presque rien, m'attire particulièrement, j'étais donc ravie d'avoir l'occasion de recevoir ce livre de la Bête Noire en service de presse."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Fatiguée qu'on ne lui propose que des chroniques de la rubrique mondaine, Elizabeth se propose en tant que reporter de guerre pour remplacer son collègue, décédé sur le terrain, et s'envole pour Saïgon..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "J'aimais vraiment beaucoup l'idée de départ, suivre un reporter de guerre, découvrir le Vietnam et changer de destination à chaque tome. J'ai aussi aimé les premières pages, on entre directement dans l'action, et l'écriture très détaillée de Laurent Guillaume était plutôt un point positif. J'aurais pu facilement oublier le côté cliché des personnages si on n'avait continué dans cette veine. Et puis... Lorsqu'on rencontre Elizabeth, elle est nue et sur le coup, ce n'est pas forcément quelque chose que j'ai relevé. Puis, on croise une secrétaire et sa "poitrine en forme d'obus", là, j'ai moins aimé. Quand on fait la connaissance de la seconde héroïne et que, comble de malchance, elle est également nue et que l'auteur nous gratifie une nouvelle fois de la description détaillée de ses seins, j'ai tiqué. J'imagine que le but était de rester dans l'ambiance des années 50 mais comme il n'y a pas de narrateur à l'histoire, pour moi ça ne passe pas. Je peux l'admettre dans les dialogues (où on ne se gêne pas pour gratifier les femmes de "salopes" et de "petites putes") mais pas dans le corps du texte. Et pour en avoir parlé avec de nombreuses lectrices, je ne crois pas vraiment non plus que c'était le style d'écriture des romans de l'époque, c'est plutôt l'idée que l'on s'en fait aujroud'hui et que certains aiment bien perpétrer. Bref, à l'allusion suivante, décrivant "deux jeunes femmes nues et leurs corps lisses aux sexes glabres et impudiques", j'ai décidé d'arrêter les frais, et je n'en étais qu'à la page 150."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Je n'abandonne quasiment jamais une lecture et je crois que je ne l'ai jamais fait avec autant de facilité pourtant, même si l'histoire avait l'air intéressante. Je crois que j'ai franchi un cap et que pour moi, certaines choses ne sont vraiment plus acceptables, peu importe les excuses que l'on se trouve pour les écrire, les imprimer ou les lire."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques de la collection de la Bête Noire ICI

     

    Alors, vous craquez pour "Les Dames de Guerre - Saïgon" ?

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