"J'ai bien aimé l'entrée en matière de cette série et le titre et la couverture de ce deuxième tome ne pouvaient que me faire craquer."
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Dites-nous en un peu plus sur son histoire...
"Depuis la mort de Jacques, Josette s'occupe seule de l'épicerie en essayant de ne pas penser à ce qui pourrait arriver et dont elle n'a parlé à personne. Mais lorsque son neveu débarque à Fogas, elle va devoir s'y résoudre, la moitié du commerce lui appartient et il a bien l'intention d'y mettre son grain de sel..."
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Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?
"On le sait, Julia Chapman est très forte pour construire toute une communauté de personnages et c'est ce qui fait que le lecteur est tout de suite à l'aise dans cette lecture. C'est comme retourner en vacances dans un lieu sympathique où l'on connaît tout le monde. Cette fois, le couple d'anglais qui tenait le premier rôle dans le tome précédent est moins présent et ce sont les propriétaires de l'épicerie ainsi que Stéphanie et sa fille qui sont sur le devant de la scène. Là encore, ce sont les personnages secondaires solides bâtis dès le premier opus qui permettent cela et j'aime beaucoup le résultat, changer de héros à chaque nouveau roman, sans perdre pour autant les autres de vue. Après, on ne va pas se mentir, on pourrait prédire absolument tout ce qu'il va se passer après seulement quelques pages et du coup, j'ai trouvé que l'intrigue était un peu longuette à démarrer. Mais une fois dedans, c'est un petit régal."
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Et comment cela s'est-il fini ?
"La fin est surprenante. Pas dans son intrigue mais dans l'intensité des sentiments que l'on ressent. D'abord, sous couvert de roman 'léger', Julia Chapman aborde un sujet terrible et ne se contente pas de l'effleurer. Enfin, la conclusion nous émeut parce qu'on les aime ces gens finalement... Et pour ça, bravo."
Mlle Alice, merci, et à jeudi prochain...
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