- Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Sulak?
"C'est la présentation de l'éditeur qui m'a donné envie de lire ce livre et de participer un peu à la rentrée littéraire pour une fois."
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Dites-nous en un peu plus sur son histoire...
"L'auteur nous raconte avec tendresse, la vie de Bruno Sulak, braqueur audacieux et fascinant des années 80."
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Mais que s'est-il exactement passé entre vous?
"Dès les premières lignes, j'ai adoré la plume de l'auteur: son humour surtout, la façon de s'impliquer dans le récit. Mais au bout d'une centaine de pages, l'écriture ne suffit plus, encore faut-il s'intéresser à la vie de Bruno Sulak. Comme Jaenada commence par nous raconter l'histoire de son grand-père puis de son père, j'avoue que j'ai le temps de me poser la question sur l'intérêt de ce livre pour moi et je commence même à être agacée par la tendance de l'auteur à tout pardonner à Bruno Sulak, à lui trouver des excuses, à dire que rien n'est de sa faute, le pauvre. Puis la rencontre a lieu entre ce bandit au grand coeur et moi et comme chaque personne qu'il a croisé sur sa route, il me séduit. A partir de là, il m'a été très difficile de lâcher le livre. A chaque pose, je m'empressais de raconter ses péripéties à tout mon entourage et chacun voulait en savoir plus. Ma mère me pressait même de finir pour connaître l'épilogue et je dois dire que je ne me suis pas fait prier."
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Et comment cela s'est-il fini?
"Je ne dirai rien sur la fin car je ne veux pas gâcher le suspense. Je peux vous dire que ce livre m'a procuré plus d'émotions qu'aucun autre livre depuis au moins un an, m'a fait rire, pleurer et que je pense régulièrement à Bruno Sulak..."
Mlle Alice, merci, et à dimanche prochain...