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Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Le Diable Vit à Notting Hill?
"Après la tristesse de Stephan Zweig et la noirceur de Maxime Chattam, il me fallait indubitablement quelque chose de plus léger à lire au bord de la piscine... Rien de la sorte ne figurant dans ma PAL (...), je me suis accordée une balade dans les rayons de ma librairie à la recherche du livre dont le titre et la couverture me feraient de l'oeil, et ce fut celui-là!"
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Dites-nous en un peu plus sur son histoire...
"La vie, les potins et les coucheries de Mimi et Clare, deux "amies" vivant à Notting Hill, et de leurs voisins donnant sur le même square privé!"
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Mais que s'est-il exactement passé entre vous?
"C'était exactement ce qu'il me fallait pour me vider l'esprit puisqu'il ne se passe absolument rien d'interessant dans tout ce roman, à tel point que lorsqu'un voisin construit une extension à sa maison qui contrarie tout le monde, on pense avoir enfin droit à un peu d'action, mais même pas. De même, aucune des révélations sur les uns et les autres ne nous surprendront d'aucune façon! Pour autant, n'en attendant pas plus, j'ai partagé avec ce livre sûrement criant de vérité sur les moeurs des squares privés de Notting Hill, un moment agréable et délassant!"
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Et comment cela s'est-il fini?
"Finalement, le personnage auquel on s'attache le plus parce qu'étant le plus normal, et aussi celui le plus trahi! C'est un peu décevant mais espérons qu'il obtiendra sa revanche dans le tome suivant qui vient de paraître: le Diable vit à la Campagne."
Mlle Alice, merci, et à dimanche prochain...
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