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Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec La Voleuse de Robes ?
"Les noms de Haute-Couture égrenés sur la quatrième de couverture ont irrémédiablement attiré mon regard et j'ai eu la chance de recevoir cet ouvrage grâce aux éditions Nil."
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Dites-nous en un peu plus sur son histoire...
"Alors que la guerre civile fait rage en Espagne et que la Seconde Guerre Mondiale se profile, la jeune Alix ne rêve que de devenir couturière. Son ami Paul va l'aider à intégrer la célèbre maison Javier, à condition qu'elle vole les modèles de robes pour lui..."
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Mais que s'est-il exactement passé entre vous?
"D'une manière générale, j'ai apprécié ma lecture. Les sujets de guerre et de politique y sont abordés sérieusement sans apporter trop de lourdeur au récit et en bon équilibre avec la mode, l'art et la frivolité. J'ai adoré les descriptions de la vie parisienne des années 30, des tissus, des robes et des croquis... Et même si Alix est parfois extrêmement naïve et qu'on aimerait bien la secouer un peu, on s'attache facilement à elle. En revanche, j'ai trouvé qu'il y avait vraiment trop d'éléments et de sujets différents, on s'éparpille, ça part un peu dans tous les sens. On attend des réponses qui ne viennent pas ou se perdent dans le flot d'informations et les scènes importantes ne sont pas aussi marquantes qu'elles le devraient. L'amour, le sexe, la politique, la guerre, la religion, la peinture, la mode, la fin d'une époque, Paris, le meurtre, la paternité, la jalousie, les erreurs du passé... Rien que cette énumération est fatigante, alors tout un livre..."
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Et comment cela s'est-il fini?
"Attendre 500 pages pour voir Alix être enfin heureuse et la quitter à Paris, en février 1939, elle qui est d'origine israélite, c'est quand même particulièrement cruel..."
Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...
Commentaires
Mouais mouais mouais ... Non merci !
Oui, c'est bien résumé, lol. Il y avait de jolies choses mais j'avais déjà presque oublié cette lecture...