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Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Là Où Rien ne Meurt ?
"On nous promet un polar sentimental, qui se déroule à Nîmes de surcroît, cela aiguise ma curiosité. En plus, la couverture est joli et c'est la Bête Noire alors..."
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Dites-nous en un peu plus sur son histoire...
"Trois ans après, Paul ne se remet toujours pas de la disparition de sa femme et a décidé d'en finir avec cette vie sans intérêt. Mais alors qu'il s'apprête à enjamber le pont, son voisin l'appelle pour lui dire que l'on vient de retrouver un corps dans son jardin..."
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Mais que s'est-il exactement passé entre vous?
"Les premiers chapitres nous aspirent littéralement à l'intérieur de cette histoire, sous des torrents d'eau, aux côtés d'un personnage plus que cabossé, tout prêt à se foutre en l'air. C'est plutôt une bonne entrée en matière. Ensuite, il y a le retour en arrière, l'enfance, les souvenirs et j'ai un peu décroché. Enfin, l'ésotérisme entre en jeu, en quelques sortes, puisqu'on y croit jamais vraiment, et là ça m'a franchement fatigué. Quand le héros revient enfin à un discours rationnel, l'intérêt pour l'histoire renait également et à partir de là, je ne l'ai plus lâché jusqu'à la dernière page."
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Et comment cela s'est-il fini?
"La fin est vraiment à la hauteur, les évènements qui se bousculent, l'enquête, les révélations... J'ai beaucoup aimé aussi le soin apporté au destin de chacun des personnages, en revanche il y a un peu trop d'histoires d'amour qui se profilent tout à coup : six personnages = trois couples. Point trop n'en faut !"
Mlle Alice, merci, et à jeudi prochain...
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Commentaires
Ca m'intrigue ce mélange des genres !
Oui, c'est intéressant, ça change !