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Lire en Légèreté - Page 40

  • Le Bonheur en Provence de Peter Mayle

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    • le bonheur en provence, loberont, provence, Peter Mayle, trilogie provençale, nil éditionsMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Le Bonheur en Provence ?

       "J'ai eu la chance de recevoir la trilogie complète à l'occasion de ces magnifiques rééditions par Nil, et comme j'ai vraiment adoré le premier tome, je savais que les suivants ne resteraient pas longtemps dans ma PAL."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Après quelques années aux États-Unis, Peter Mayle et sa femme n'ont qu'une envie, retourner vivre en Provence et retrouver toutes ses couleurs et ses saveurs..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Comme pour le deuxième volet de cette trilogie provençale, j'apprécie moins ici le côté chroniques mises bout à bout que le premier tome, qui avait un vrai fil rouge, une histoire... Il y a aussi quelques redites d'ailleurs. Mais ce qui le sauve, c’est l'amour évident de l'auteur pour la Provence et l’énergie qu’il met à la défendre sans mauvaise foi. Il ne cache pas ses défauts, ne dit pas qu’elle n’en a pas mais qu’il les aime aussi, tout simplement. Et il nous donne faim, toujours. Enfin, je l’ai longtemps attendu ce passage sur Marseille qu'il nous livre enfin, et il ne m’aura pas déçue et, en bonne marseillaise et donc sans exagération aucune, je dirais qu'il vaut à lui seul la lecture du livre."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Même si je reste convaincue que la lecture du premier tome se suffit amplement à lui même, Peter Mayle va quand même sacrément me manquer et m’a donnée, une fois encore, l’envie de mieux connaître ma Provence."

     

        Mlle Alice, merci, et à jeudi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques de la trilogie Provençale ICI

     

    Alors, vous craquez pour "Le Bonheur en Provence" ?

    Catégories : Lire en Légèreté 0 commentaire
  • La Forêt Ivre de Robert Durrell

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    • la forêt ivre, robert Durrell, naturaliste, animaux, Amérique du SudMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec La Forêt Ivre ?

       "Je poursuis mon petit chemin vers la nature au travers de différentes lectures et ce récit, qui semblait plein d'humour et réédité par la Table Ronde avec une si jolie couverture, me tendait les bras."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Gerald Durrell était un naturaliste britannique et il nous raconte ici son voyage en Amérique du Sud pour étudier et ramener à Londres différentes espèces d'animaux."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "On m'avait parlé de l'humour de l'auteur et j'ai apprécié sa façon haute en couleur de nous raconter son périple. Il semble n'avoir peur de rien, relate des incidents graves comme s'il s'agissait de broutilles et on se demande vraiment comment lui et sa femme ne sont pas déjà morts cent fois au cours de leurs voyages. Il fait aussi de chaque rencontre un évènement et chaque humain ou animal qui croise sa route devient un héros inoubliable de son récit.

       Après, l'époque a bien changé, et dans ce domaine précis, pour le mieux j'espère. J'avoue donc que certains petits détails m'ont gênée, un peu de condescendance envers les locaux par exemple, l'attitude assez typique de l'homme blanc européen des années 50 qui débarque en Amérique du Sud finalement. Et puis, il y a les animaux. Je veux bien entendre que Gerald Durrell les adorait, ça se sent d'ailleurs, et même qu'il en a sûrement sauvé certains mais je n'ai jamais aimé les zoos, je les aime de moins en moins, et j'avais du mal à me projeter quand l'auteur se réjouissait par exemple d'avoir débusquer un nid et raflé tous les petits. J'ai eu beaucoup de peine aussi lorsqu'après avoir appris à des dizaines d'animaux à dépendre de lui pour leur nourriture, il les relâche finalement dans la nature."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Ça reste une petite déception parce que je m'attendais à être plus emportée, et pour les raisons déjà citées. J'aimerais tout de même beaucoup retrouver Gerald Durrell pour me faire une meilleure idée, d'autant que l'on m'a conseillée sa trilogie de Corfou."

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques des livres sur la Nature ICI

     

    Alors, vous craquez pour "La Forêt Ivre" ?

  • Blackwater III - La Maison de Michael McDowell

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    • la maison,blackwater,saga blackwater,michael mcdowell,les caskey,elinor caskey,mary-love caskeyMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec La Maison ?

       "J'ai laissé passé un peu de temps avant de me plonger dans ce troisième tome pour voir s'il me ferait toujours envie et ce fut le cas. D'autant que c'est une lecture parfaite pour l'été."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Les deux filles d'Elinor ont bien grandi et sont aussi différentes l'une de l'autre que l'on pourrait l'imaginer. Elles deviennent également le coeur des dissensions entre les deux femmes fortes de la famille Caskey..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "C'est le tome que j'ai préféré jusque là parce que le côté surnaturel était vraiment plus interessant et plus à mon goût mais aussi parce que cette fois Elinor ne s'en prend pas à des enfants innocents, ce qui fut un grand soulagement. Ce qui devait arriver avec Mary-Love arriva mais l'auteur nous tient en haleine à chaque page, distille juste assez d'espoir pour que l'on tourne les pages avec avidité et qu'on supporte la cruauté qui suinte de chaque ligne. Un joli tour de passe passe. Il est indéniablement un maître du divertissement et comme les précédents, ce tome se dévore d'une traite."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Là aussi, comme pour les précédents, j'aurai pu enchaîner directement avec les suivants. Ça ne m'empêche pas de continuer à redouter certains rebondissements et surtout le dénouement de cette histoire que je vois venir de loin, tout en espérant me tromper."

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques de la série Blackwater ICI

     

    Alors, vous craquez pour "La Maison" ?