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robert laffont - Page 15

  • Tu Tueras l'Ange de Sandrone Dazieri

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Tu Tueras l'Ange ?

       "J'avais beaucoup aimé le précédent, tu tueras le père, et je ne voulais pas passer à côté de celui-ci, impatiente de retrouver les différents personnages de Sandrone Dazieri."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "À l'arrivé d'un train en provenance de Milan, un contrôleur monte à bord et meurt avant d'avoir pu passer les portes de la première classe. C'est la commissaire adjointe Caselli qui sera la suivante à pénétrer dans le wagon pour constater que l'agent des chemins de fer n'est que le dernier d'une longue liste de personnes à avoir succomber à un gaz mortel..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous?

       "Comme dans le premier opus, on passe régulièrement du passé au présent et d'un personnage à l'autre dans un ensemble un peu confus. Si pour le précédent, l'enquête m'avait emportée dans son sillage, c'est ici un peu moins le cas et j'ai fini par être un peu perdue et à me contenter de lire sans chercher à raisonner en écho avec les enquêteurs. De plus, nous plongeons de nouveau dans des histoires de complots à grande échelle qui honnêtement me fatiguent un peu. Pour tout le côté policier donc, j'ai clairement moins aimé que le premier tome, en revanche, rien que pour le plaisir de retrouver Dante, je ne peux pas regretter ma lecture, j'aime décidément trop ce personnage. Le duo qu'il forme avec Colomba marche toujours aussi bien même si l'"homme du silo" est tout de même bien malmené, et plus on le connaît, plus on s'attache à lui et plus on attend de découvrir avec lui tous les secrets encore disséminés dans son passé."

    • Et comment cela s'est-il fini?

       "J'avoue, je commençais à me demander quand même si cette fois je lirai la suite mais avec le retournement de situation de dernière minute que je n'ai pas du tout vu venir que nous a concocté l'auteur, j'ai plus que hâte de lire le dénouement de cette trilogie. Bien joué !"

     

        Mlle Alice, merci, et à jeudi prochain... 

    Retrouvez toutes mes chroniques sur la collection de la Bête Noire ICI 

    dont notamment Tu tueras le père, là

    Catégories : Lire et Enquêter 2 commentaires
  • Les Trois Veuves de Michel Jeury

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Les Trois Veuves ?

       "Comme j'ai la grande chance de recevoir des services presse de chez Robert Laffont, j'aime bien en profiter pour découvrir des livres dont on entend un peu moins parler..."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Marie Jardin, veuve de notaire et femme à l'avant-garde, surnommée la "sans-corset", a choisi de mener des enquêtes pour gagner sa vie. À la demande de son ami procureur, elle va enquêter au coeur d'une famille dans la soierie, qui cache bien ses secrets..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous?

       "Parfois, il n'y a pas trente-six façons de le dire, mieux vaut aller droit au but, arracher le pansement d'un coup : il n'y a rien que j'ai aimé dans ce roman. Si j'avais été touchée par le préambule écrit par la fille de l'auteur qui a retravaillé ce texte après le décès de son père, j'ai vite perdu toute indulgence devant la succession de clichés machistes sur la gente féminine. De ces trois femmes, et des autres présentes au cours du récit, aucune n'est sympathique au lecteur. Elles sont à moitié folles ou menteuses ou prostituée ou... pire encore et tout ça à la fois ! L'enquêtrice passe son temps à s'évanouir à la moindre émotion et n'arrive pas à se concentrer sur l'enquête parce que, vous comprenez, elle n'arrête pas de penser à celui qui l'a engagée, qu'elle n'a pourtant fait que croiser mais avec lequel elle a trop envie de coucher pour penser à autre chose. Sérieusement ?"

    • Et comment cela s'est-il fini?

       "Pire que tout, on se doute depuis longtemps de l'identité du meurtrier et le dénouement plein de sentimentalité inutile et bien mal placée est extrêmement décevant."

     

        Mlle Alice, merci, et à jeudi prochain...

    Exceptionnellement, pendant tout l'été, deux chroniques par semaine seront publiées.

    Catégories : Lire et Enquêter 0 commentaire
  • L'Appel de Portobello Road de Jérôme Attal

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec L'Appel de Portobello Road ?

       "Jérôme Attal est un peu le chouchou des filles du cercle Arion, les blogueuses qui ont la grande chance de recevoir les services presse de Robert Laffont, alors quand on nous propose son nouveau livre, il est difficile de résister."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Ethan reçoit un appel de ses parents au beau milieu de la nuit avec, en prime, un message pour sa soeur. Deux problèmes: ses parents sont morts et il n'a pas de soeur..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous?

       "Comme toujours, avec cet auteur, on bascule rapidement dans l'absurde mais ses livres sont aussi plein de tendresse. Même si on s'amuse, qu'on croise des pom-pom girls tchèques et Amy Winehouse, il y a aussi derrière tout ça, le vrai mal être du héros, qui part en quête de quelqu'un sur qui veiller et pour compter inconditionnellement aussi. Il y a de la poésie derrière la folie. Personnellement, j'avoue que je reste plus friande d'histoires plus consistantes, autant en terme de réalité que du nombre de pages mais si vous n'avez jamais lu un livre de Jérôme Attal, un peu de loufoquerie ne peut pas vous faire de mal."

    • Et comment cela s'est-il fini?

       "C'est un peu abrupte comme fin mais nous laisse tout l'espace nécessaire à la rêverie..."

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques des livres de Jérôme Attal

    Catégories : Lire en Légèreté 0 commentaire