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  • Blackwater II - La Digue de Michael McDowell

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    • blackwater, saga blackwater, la digue, Michael McDowell, Alabama, littérature américaine, monsieur toussaint louvertureMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec La Digue ?

       "Pour me faire un réel avis sur cette série, j'avais besoin de lire ce deuxième tome, d'avancer un peu plus dans l'intrigue. Non, ce n'est pas juste parce que la couverture est canon !"

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Mary-Love a eu ce qu'elle voulait mais en un sens Elinor aussi, et elle ne peut le tolérer alors pour l'humilier, elle fait appel au seul homme que sa belle-fille ne peut pas supporter, celui qui doit construire la digue..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "J'ai peut-être un petit plus aimé encore que le premier, pour une raison très simple : un personnage sympathique se dégage enfin du lot et nous permet de nous intéresser à son avenir. Pour les autres, il est vrai qu'une certaine forme de fascination se développe également petit à petit mais il s'agit d'une fascination malsaine, dérangeante... Et je ne comprends toujours pas comment on peut apprécier Elinor avec ce qu'elle fait, et toujours aux plus faibles qui plus est. Pour tout le reste, mon avis reste inchangé, une écriture très fluide, un cadre interessant. Ça se lit comme on regarderait l'épisode d'une série qu'on aime bien."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Le côté surnaturel s'accentue un peu et me donne envie de découvrir la suite mais si je continue à apprécier ces romans, on n'est toujours pas dans le coup de coeur !"

     

        Mlle Alice, merci, et à jeudi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques des livres de Monsieur Toussaint Louverture ICI

    et toutes celles de la saga Blackwater, par LÀ

     

    Alors, vous craquez pour "La Digue" ?

  • Blackwater I - La Crue de Michael McDowell

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    • la crue, blackwater, saga blackwater, famille Caskey, Alabama, monsieur Toussaint louverture, Michael McDowell Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec La Crue ?

       "C'est sûrement le livre le plus instragramable de l'année alors il aurait franchement été difficile de passer à côté ! Et après avoir appris que l'auteur n'était autre que le scénariste de Beetle Juice, film culte de mon enfance, je ne pouvais pas passer à côté."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Toute la ville est sous les flots de la Perdido, seuls dépassent la tour de la Mairie et le premier étage de l'unique hôtel du coin. Oscar Caskey, fils d'une famille influente, vient examiner l'état de la décrue lorsqu'il découvre une jeune femme là où personne n'aurait pu survivre si longtemps. Mais Elinor a une explication pour tout et tout le monde l'apprécie, sauf Mary-Love, la mère d'Oscar..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Le roman est accompagné d'une note sur l'auteur et de quelques mots de lui expliquant qu'il écrit pour que les gens passe(nt) un bon moment, sans avoir à lutter. Et dans cette optique là, c'est parfaitement réussi. L'écriture est d'une grande simplicité, les pages se tournent toutes seules et l'histoire est interessante. Si c'est donc un livre qui m'a plu, j'avoue que les critiques dithyrambiques me laissent perplexe. Je n'aurais pas pensé qu'il était du genre à déclencher des passions, manifestement j'ai du passer à côté de quelque chose (de l'humour par exemple, que je cherche encore pour ma part). Le mystère n'est pas très épais, le côté surnaturel très limité et surtout, les personnages sont peu sympathiques. À partir de là, difficile pour moi de m'inquiéter véritablement du destin de l'un ou de l'autre. Je pense que pour me faire une meilleure idée, il faudra que je lise le deuxième tome mais pour le moment, je ne peux pas garantir que j'irai au-delà."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "On a un peu l'impression de s'arrêter au milieu du récit, à cause du format je suppose. Mais les dernières révélations sont pour le moins accrocheuses."

     

        Mlle Alice, merci, et à jeudi prochain...

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    Alors, vous craquez pour "La Crue" ?