Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Dix Tombes pour l'Enfer ?
"C'est assez rare que je ne me sois pas lassée d'une série au bout du dixième tome mais c'est pourtant le cas ici, je m'amuse toujours autant, et j'ai bien l'intention de m'amuser encore jusqu'à la toute dernière ligne du quatorzième opus."
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Dites-nous en un peu plus sur son histoire...
"La faucheuse est de retour chez elle mais les évènements qu'elle vient de traverser l'on beaucoup secouée : elle a perdu la mémoire, l'âme de son père a traversé, elle a du se séparer de sa fille et son mari serait un dieu du mal... Ça fait quand même beaucoup pour une seule femme, même de la trempe de Charley."
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Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?
"L'autrice a de multiples talents et elle nous le démontre une nouvelle fois ici. Son humour est ce qui me ravit en premier lieu mais je suis également épatée par sa capacité à gérer toutes ces intrigues et ces rebondissements sans s'y perdre. Même cette hisoitre de dieux, à laquelle je n'adhérais pas trop, devient de plus en plus interessante. Elle n'en finit jamais de m'épater et de surprendre. Peut-être que l'enquête policière était un peu en-dessous cette fois-ci mais le récit est tellement riche, tellement fourni, qu'on ne peut pas s'ennuyer une seconde, c'est impossible. J'adore les personnages, les anciens comme tous les nouveaux, plus on est de fous, plus on rit ! Et j'adore que derrière des scènes torrides et un humour parfois tordu, des sujets plus profonds soient évoqués. Juste, si tous hommes pouvaient ne pas être sublimes et riches à milliards, on y croirait un peu plus mais bon comme on parle déjà de la faucheuse, du fils du diable et de fantômes à gogo, je suppose que la vraisemblance n'est pas forcément le point d'ancrage du récit."
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Et comment cela s'est-il fini ?
"Avec les énormes révélations que Darynda Jones nous livre dans les toutes dernières pages, il est évident que j'ai très envie de me jeter sur la suite."
Mlle Alice, merci, et à samedi prochain...
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