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Rechercher : le trône de fer

  • De si Beaux Lendemains de Debbie Macomber

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    • de si beaux lendemains, retour à cedar cove, Debbie Macomber, la villa rose, livre doudouMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec De si Beaux Lendemains ?

       "Cinquième et dernier tome de la série 'Retour à Cedar Cove', que j'adore et que j'ai découvert à la création de la maison d'édition Charleston, on peut dire que je l'attendais avec impatience."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Jo Marie n'a plus de nouvelles de Mark depuis presque neuf mois maintenant et décide qu'il ne peut pas être encore en vie et qu'elle ne peut pas se permettre l'espoir, pas encore une fois. Jusqu'à ce qu'elle reçoive une carte mystérieuse..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "C'est une fin de saga, on en attend forcément beaucoup et l'exercice est réussi. J'ai bien relevé quelques incohérences et quelques petites répétitions, certains passages sont un tout petit peu trop cucul la praline à mon goût mais, de manière générale, c'est vraiment un bon roman feel good, bien dosé. J'ai aimé les clins d'oeil aux tomes précédents et la réapparition de certains personnages avec juste assez d'éléments pour  nous rappeler (ou nous apprendre) leurs histoires respectives. Et puis surtout, après l'avoir commencé, j'ai vraiment eu beaucoup de mal à le lâcher et je l'ai quasiment lu d'une traite, ce qui est sûrement le meilleur indicateur de son efficacité."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Mon seul regret est et restera de ne pas pouvoir me rendre moi-même à la villa Rose, pour me faire chouchouter par Jo Marie et tester les mystérieux pouvoirs de la maison d'hôtes."

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques des livres de Debbie Macomber ICI

    et celles de la saga 'Retour à Cedar Cove', par LÀ

     

    Alors, vous craquez pour "De si Beaux Lendemains" ?

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  • The Young Clementina de D.E. Stevenson

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec The Young Clementina?

       "J'ai commencé ma découverte de l'univers et de la plume de D.E. Stevenson avec la série des Miss Buncle qui m'avait déjà charmée et j'avais envie d'explorer une autre de ses histoires. Comme Sourcebooks est justement en train de rééditer son oeuvre avec un choix de couvertures sublimes, je n'ai pas hésité beaucoup plus longtemps à me laisser convaincre (par moi-même d'ailleurs).

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "L'histoire se déroule autour des années 30. Charlotte Dean, vit une vie sans intérêt ni saveur, seule dans un petit appartement de Londres et se rendant chaque jour au travail consciencieusement. Mais ne croyez pas qu'il en a toujours été ainsi, cette vie d'ermite est un choix et petit à petit, nous allons découvrir pourquoi et quels sont les évènements qui aujourd'hui la pousse à changer de nouveau cela."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous?

       "Ce livre est poignant. Comme toujours, D.E. Stevenson nous dépeint des personnages extrêmement attachants et dès les premières pages, on se prend d'une grande affection pour Charlotte. Le début de son récit est quelque peu pathétique, elle est si seule qu'elle s'invente une amie imaginaire d'une femme croisée une fois dans le bus. Puis on découvre son histoire si triste et sa résignation courageuse et c'est un vrai crève-coeur. Impossible alors de se détacher de ces pages qui vont tour à tour nous redonner un peu d'espoir et nous le ravir aussi vite et réserver encore bien des surprises et des découvertes à cette pauvre Charlotte Dean. C'est vraiment une réussite en ce qui concerne les personnages et la palette des émotions que l'on traverse, le tout sur fond de campagne anglaise. Que demander de plus?"

    • Et comment cela s'est-il fini?

       "C'est quand même le genre de livres où l'on s'énerve un peu tout le long contre les uns et les autres et leur manque de communication, sur toutes ces souffrances qui auraient pu être évitées sans la fierté mal placée de certains et la naïveté des autres alors bien sûr, pour rétablir l'équilibre, on a besoin d'une fin vraiment heureuse, de sentir que les personnages n'ont pas traversé tout cela pour rien. Et de ce côté-là, j'ai été un peu déçue par la rapidité du dénouement. Un peu plus de scènes de bonheur, voire un épilogue, n'auraient pas été de trop à mon goût."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

    Retrouvez les autres chroniques des livres de D.E. Stevenson ICI

    et la chronique de Celia's House, réécriture de Mansfield Park, sur Jane Austen is my Wonderland

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  • La Femme de Marbre de Louisa May Alcott

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec La Femme de Marbre ?

       "De temps en temps, j'ai la chance de recevoir un roman en provenance des Éditions Finiude, sélectionné en rapport avec mon goût pour Jane Austen il me semble, et ce fut dernièrement le cas de celui-ci, un inédit de Louisa May Alcott."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Cecil, jeune orpheline sans ressource, va se voir confiée aux bons soins du sculpteur Bazil Yorke. Mais pour lui plaire, elle va s'efforcer de ressembler chaque jour un peu plus à l'une de ses précieuses statues, au risque de se perdre elle-même..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "J'avoue que je m'attendais à ne pas vraiment être emballée par cette histoire. Je ne sais pas pourquoi, à cause de la couverture peut-être, ou du fait que je ne suis pas une grande fan des Quatre filles du Docteur March, bien trop triste pour moi. J'imaginais quelque chose d'un peu plombant pour le moral je crois mais la préface nous fait découvrir une autre facette de l'auteur, qui écrivait des romans feuilletons pour un quotidien de Boston dans le plus complet anonymat. Disons c'est que c'est un peu la check-lit du classique en quelque sorte. Déjà, je suis plus intriguée. Et des les premières pages, je suis agréablement surprise. L'écriture est simple et agréable, le roman se lit facilement d'une traite et les personnages nous happent dans leurs intrigues. J'ai, plusieurs fois, eu une pensée pour Catherine Morland et les romans gothiques qu'elle aime dévorer sous les draps. Ici aussi, nous avons une bonne dose de mystère et de romantisme, d'élan et de frayeur. C'est un roman qu'il faut lire avec un peu de recul et d'humour aujourd'hui je pense."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Je pense que ce roman ne me marquera pas forcément mais je suis heureuse d'avoir pu le découvrir et comme toujours, le travail d'édition et de traduction de Finitude confine à la perfection. Le seul bémol dans toute cette histoire est que l'on flirte un peu trop souvent avec l'idée de l'inceste à mon goût, même si les codes de l'époque étaient bien différents."

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...

     

    Alors, vous craquez pour "La Femme de Marbre" ?

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