"Il s'agit du troisième tome de cette série policière italienne que j'aime beaucoup, il n'était donc pas question de passer à côté."
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Dites-nous en un peu plus sur son histoire...
"La commissaire Bataglia est appelée sur un cas étrange, une petite fille qui fait des cauchemars. À priori, ce n'est pas une raison suffisante pour une enquête mais elle va décider de suivre son instinct et de croire l'enfant..."
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Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?
"Une fois de plus, la plume poétique de l'auteur, le cadre qui vous happe complètement et ce personnage principal très fort m'ont complètement embarquée. C'est un délice. J'ai adoré ce rapprochement entre les deux policiers, comme une mère et son fils alors qu'ils se connaissent si peu mais ils se reconnaissent, par leurs blessures, par leurs secrets. J'ai aimé tous ces moments où l'on frôle la vérité, où l'on tourne autour mais j'aurais encore plus apprécié qu'ils se confient l'un à l'autre, j'espère que ce sera le cas du prochain. Et puis, j'applaudis l'équilibre avec des éléments plus bruts, la colère de Battaglia, sa confrontation avec la mafia. C'est une femme de caractère comme je les aime."
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Et comment cela s'est-il fini ?
"Grosse frustration sur la résolution de l'enquête qui semble se démêler toute seule, en quelques phrases, comme s'il ne s'agissait que d'un élément vraiment très accessoire de l'histoire ! Mais ça ne m'empêche pas d'avoir très hâte de retrouver la commissaire."
Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...
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