"C'est Babelio qui m'a gentiment proposé de recevoir ce livre et comme, justement, en ce moment, j'ai très envie de lire plus de romans jeunesse, je n'ai pas hésité à dire oui."
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Dites-nous en un peu plus sur son histoire...
"Le jour de la répartition dans les Guildes est arrivé et Zed espère de toutes ses forces pouvoir rejoindre les Mages, malgré la basse condition de sa mère et le sang d'elfe qui coule dans ses veines. Mais alors que tous ses rêves sont sur le point de se réaliser, l'impensable se produit et il est réquisitionné par la Guilde des Aventuriers, celle qui défend la ville contre les monstres qui rôdent à l'extérieur et dans laquelle on ne survit jamais très longtemps..."
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Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?
"L'imaginaire est-il sans fin ? Je ne crois pas. Pour moi, il se compose toujours plus ou moins des mêmes éléments. Après, il y a ceux qui se contentent de les piocher ici ou là pour les recracher sans talent (et ils sont nombreux) et ceux qui en font vraiment quelque chose. Alors bien sûr, il m'est arrivé de penser à Divergente ou encore à The Witcher en lisant ce roman mais les auteurs ont réussi à créer leur propre univers, que j'ai beaucoup apprécié et dans lequel je ne me suis pas ennuyée une seconde. L'alternance de points de vue entre deux des protagonistes ne m'a pas dérangé, même si j'en apprécie clairement plus l'un que l'autre et pour une fois, je n'ai pas trouvé le tout trop simpliste bien que je n'aurais pas été contre quelques approfondissements et des pages en plus. Enfin, j'ai adoré les dessins proposés à la fin et je regrette d'autant plus que la couverture originale du livre n'ait pas été conservée."
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Et comment cela s'est-il fini ?
"J'ai particulièrement apprécié que les auteurs nous offrent une véritable fin à cet opus, ce qui est très rare dans ce genre de sagas et qui est pour moi un signe de respect pour les lecteurs. Ils n'ont pas manqué également, bien sûr, d'introduire une ouverture qui ne peut que nous donner envie de lire la suite, ce que je ferai avec plaisir."
Mlle Alice, merci, et à jeudi prochain...