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  • Le Chameau Sauvage de Philippe Jaenada

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Le Chameau Sauvage ?

       "Ma première rencontre avec l'auteur se fût Sulak, une énorme claque. La deuxième avec La Petite Femelle, presque aussi savoureuse. Pour la troisième  c'est avec l'auteur lui-même que j'ai eu la chance d'échanger quelques mots aux Quais du Polar et ça m'a donnée envie de le découvrir dans un style différent avec le Chameau Sauvage."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Halvard Sanz est un sympathique loser, à qui il n'arrive que des trucs tordus et à la sensibilité complètement inadaptée à notre monde cruel et je sais bien ce que c'est..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Toutes les qualités que j'ai aimé dans ses autres romans sont bien là : une analyse pointue de la nature humaine, de l'empathie pour ses personnages, beaucoup d'humour aussi. Ce que j'ai moins aimé est là aussi, bien sûr, c'est-à-dire les digressions sans fin et sans queue ni tête sans lesquelles Jaenada ne serait pas Jaenada. Mais là où les destins extraordinaires d'un homme et d'une femme fascinants m'ont transportés (dans Sulak et la Petite Femelle), Halvard Sanz n'a pas fait le poids une seconde. Si ce livre n'est certainement pas mauvais, sa lecture n'a été pour moi que souffrance parce que j'ai pitié de son héros, parce que je n'ai pas réussi à en rire en me disant que ces choses-là n'arrivaient pas en vrai, en tous cas pas toutes à la même personne, et sûrement parce que je me suis un peu trop reconnue en lui et dans ses pensées. Moi qui aime lire pour me changer les idées et me sentir transportée, c'est raté!"

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Alors c'est promis, le chameau sauvage, je vais essayer, sur un malentendu, qui sait ? Mais pour ce qui est de Philippe Jaenada, je crois que je me cantonnerai à ses magistrales biographies à l'avenir."

     

        Mlle Alice, merci, et à samedi prochain...

    Retrouvez mes autres chroniques beaucoup plus enthousiastes de Philippe Jaenada ICI

     

    Alors, vous craquez pour "Le Chameau Sauvage" ?

    Catégories : Lire des Romans 0 commentaire
  • Sulak de Philippe Jaenada

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Sulak?

       "C'est la présentation de l'éditeur qui m'a donné envie de lire ce livre et de participer un peu à la rentrée littéraire pour une fois."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "L'auteur nous raconte avec tendresse, la vie de Bruno Sulak, braqueur audacieux et fascinant des années 80."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous?

       "Dès les premières lignes, j'ai adoré la plume de l'auteur: son humour surtout, la façon de s'impliquer dans le récit. Mais au bout d'une centaine de pages, l'écriture ne suffit plus, encore faut-il s'intéresser à la vie de Bruno Sulak. Comme Jaenada commence par nous raconter l'histoire de son grand-père puis de son père, j'avoue que j'ai le temps de me poser la question sur l'intérêt de ce livre pour moi et je commence même à être agacée par la tendance de l'auteur à tout pardonner à Bruno Sulak, à lui trouver des excuses, à dire que rien n'est de sa faute, le pauvre. Puis la rencontre a lieu entre ce bandit au grand coeur et moi et comme chaque personne qu'il a croisésulak,philippe jaenada,bruno sulak,julliard sur sa route, il me séduit. A partir de là, il m'a été très difficile de lâcher le livre. A chaque pose, je m'empressais de raconter ses péripéties à tout mon entourage et chacun voulait en savoir plus. Ma mère me pressait même de finir pour connaître l'épilogue et je dois dire que je ne me suis pas fait prier."

    • Et comment cela s'est-il fini?

       "Je ne dirai rien sur la fin car je ne veux pas gâcher le suspense. Je peux vous dire que ce livre m'a procuré plus d'émotions qu'aucun autre livre depuis au moins un an, m'a fait rire, pleurer et que je pense régulièrement à Bruno Sulak..."

     

        Mlle Alice, merci, et à dimanche prochain...