Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

passion corée - Page 20

  • Séoul Copycat de Lee Jong-Kwan

    Imprimer
    • séoul copycat, Séoul, thriller coréen, littérature coréenne, passion corée, hanguk, Corée du Sud, lee jong-kwanMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Séoul Copycat ?

       "Je l'ai souvent croisé en librairie mais j'avais envie d'en lire d'autres avant celui-ci et puis, j'ai fini par me dire qu'au moment où je le voudrai, il n'y serait sûrement plus, comme toujours, alors je l'ai pris. Si ça ce n'est pas un raisonnement infaillible !"

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Un homme se réveille à l'hôpital mais tout est noir, aussi bien devant ses yeux que dans sa tête. Il ne se souvient pas qu'il s'appelle Lee Suyin, ni qu'il est inspecteur de police, ni même de l'accident qui l'a amené ici alors qu'il poursuivait un serial killer. Mais il va devoir retrouver la mémoire au plus vite s'il ne veut pas devenir à son tour la proie..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "J'ai aimé l'ambiance de ce roman. Très vite, on comprend que l'on nous ment, au héros comme au lecteur. On soupçonne tout le monde, on échafaude différentes théories et certaines se révéleront juste mais pas toutes. Alors que je pensais être déçue par la fin, avoir tout deviné, le troisième tiers du livre opère un virage interessant et nous propose des rebondissements inattendus. Les non dits et la pudeur coréenne ajoutent  une dimension supplémentaire à tout cela, comme l'obscurité dans laquelle évolue Lee Suyin qui est à la fois métaphorique et réelle. Tous les passages dans lesquels il se fie aux bruits pour se repérer et se rassurer sont très bien traités d'ailleurs."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Ce n'est pas un coup de coeur mais c'est un polar honnête. Je suis un peu frustrée de ne pas avoir eu toutes les réponses à la fin mais, là encore, c'est tellement coréen que je commence à m'y faire."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques autour de la Corée du Sud ICI

    et toutes celles sur les polars coréens, par LÀ

     

    Alors, vous craquez pour "Séoul Copycat" ?

    Catégories : Lire et Enquêter 0 commentaire
  • Le Portrait de la Traviata de Do Jinki

    Imprimer
    • le portrait de la traviata, do Jinki, littérature coréenne,polar coréen,thriller coréen,hanguk,passion coréeMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Le Portrait de la Traviata ?

       "Tout ce qui est coréen m'attire l'oeil au milieu de l'étal des libraires. Après être passée devant cette publication à plusieurs reprises et en avoir lu les premières pages sans pouvoir les oublier, j'ai fini par craquer."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "L'inspecteur Lee Yuhyeon a un doute. Il a arrêté un suspect de meurtre, l'a envoyé devant le tribunal mais il a un doute. Alors quand ce dernier est relâché faute de preuves et qu'il doit recommencer son enquête à zéro, il décide de demander l'aide de Gojin, l'avocat de l'ombre..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Je resors de ma lecture avec un sentiment un peu mitigé. J'ai beaucoup aimé le début. Le policier doit reprendre toute son enquête et on suit son raisonnement, ses doutes, les interrogatoires et la récolte des preuves. L'énigme semble s'épaissir à chaque fois qu'il la retourne dans un sens ou dans l'autre. L'avocat Gojin, même s'il est peu présent, est aussi un personnage interessant et intrigant, tous les éléments sont là pour fabriquer un très bon roman policier. Mais au bout d'un moment, on cesse d'avancer, on tourne même un peu en rond et surtout, plus les pages se tournent, plus l'inspecteur semble incapable de réfléchir par lui-même, de vérifier les pistes les plus élémentaires. Il s'en remet tellement à Gojin qu'il en devient idiot, et c'est vraiment décevant. Et puis bizarrement, il m'a manquée également un peu de Corée dans tout ça. L'intrigue aurait tout aussi bien pu se dérouler ailleurs."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Je n'avais pas trouvé le meurtrier mais il faut dire que la solution est assez tordue. Je reste quand même un peu perplexe en le refermant mais comme il s'agit d'une série, je donnerai sûrement sa chance au tome suivant pour me faire une meilleure idée. En revanche, je cherche toujours le rapport du titre avec le reste."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques autour de la Corée du Sud ICI

     

    Alors, vous craquez pour "Le Portrait de la Traviata" ?

    Catégories : Lire et Enquêter 0 commentaire
  • Lapin Maudit de Chung Bora

    Imprimer
    • lapin maudit, chung bora, nouvelles, littérature coréenneenne, hanguk, Corée du Sud, littérature horrifiqueMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Lapin Maudit ?

       "Je crois qu'il va falloir vous habituer à voir des publications de la maison d'édition Matin Calme sur ce blog. Tout ce qu'ils sortent, toujours d'auteurs coréens bien sûr, m'intéresse. Et celui-ci, avec sa couverture déjantée, me faisait particulièrement envie."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Dix nouvelles horrifiques et plutôt pessimistes qui mettent en lumière les travers de notre société et de la nature humaine dans son ensemble avec une certaine cruauté..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Ma première expérience de ce livre fut une déception. Cependant, c'est entièrement ma faute. Je lis rarement les résumés, je préfère en savoir peu sur l'histoire que je m'apprête à découvrir, et je me fie plutôt aux avis. J'avais donc raté une information capitale, il ne s'agit pas d'un roman mais de nouvelles, et je n'aime pas les nouvelles. Je l'ai compris à la fin de la première, que j'ai beaucoup aimé mais que je m'attendais à voir se déployer sur l'ensemble de l'ouvrage. Grosse frustration donc. Puis, j'ai détesté la deuxième nouvelle. Heureusement, une fois que j'ai mis tout ça de côté, j'ai vraiment pu apprécier les suivantes, certaines très modernes, d'autres ressemblant à des contes, et toujours d'une écriture extrêmement soignée, et particulièrement prenante qui nous pousse à tourner les pages avec une fascination presque morbide."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "J'espère que Matin Calme continuera à traduire cette autrice parce que j'aimerais vraiment découvrir ses romans cette fois. Et j'en profite d'ailleurs pour dire un mot de la traduction : bravo. J'ai été choquée de constater à la naissance de ma passion pour la Corée du Sud à quel point les ouvrages étaient peu nombreux en français mais, surtout, qu'ils étaient régulièrement traduit depuis l'anglais (une traduction d'une traduction donc). Matin Calme pallie ces deux problèmes, et le fait bien."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques autour de la Corée du Sud, ICI

    et toutes celles sur la littérature coréenne, PAR LÀ

     

    Alors, vous craquez pour "Lapin Maudit" ?

    Catégories : Lire et Frissoner 0 commentaire