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chick lit

  • Une (Toute) Dernière Chance de Kristan Higgins

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    • une (toute) dernière chance,une toute dernière chance,kristan higgins,chick lit,romanceMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Une (Toute) Dernière Chance ?

       "Je ne rate jamais la sortie d'un nouveau Kristan Higgins, souvent juste avant l'été, parfait pour lire au bord de l'eau, et je remercie Harper Collins pour l'envoi."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Sadie apprend que son père vient de faire une crise cardiaque et se rue à son chevet. Pour elle, c'est l'occasion de retourner dans sa petite ville natale et de faire le bilan sur sa vie, sa carrière d'artiste ratée, ses amours et ses relations avec le reste de sa famille..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Est-ce que je suis de moins en moins sensible à ce genre de littérature ? C'est possible. Est-ce que les derniers Kristan Higgins sont moins bien que les premiers et qu'elle commence à avoir du mal à se renouveler ? Franchement, c'est bien possible aussi. Après, comprenez-moi bien, ce n'est pas un mauvais livre et ce n'était pas du tout une lecture désagréable. Mais quand je pense à ceux que j'avais adoré de sa plume, je trouve qu'on est vraiment bien loin de tout ce qui en faisait la qualité. J'ai aimé certains personnages, d'autres pas du tout mais j'ai surtout trouvé qu'ils manquaient d'épaisseurs et que les justifications à leurs actes étaient bien légères... Celle qui tire son épingle du jeu, c'est Juliet, la soeur, la plus authentique.

       Enfin, l'auteur introduit plus de diversité qu'elle en a l'habitude et si je suis pour je pense aussi que quand ça se voit, c'est que c'est mal fait et j'ai tendance à me dire que si c'est mal fait, c'est que c'est fait sans conviction, juste pour être dans la tendance et continuer à vendre et ça, ça me dérange."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "C'est non en fait. Ce n'est pas à la fille de s'excuser de ce qu'elle est devenue et des relations qu'elle a avec sa mère à cause de la façon dont elle a été traitée enfant. Non."

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques des livres de Kristan Higgins ICI

     

    Alors, vous craquez pour "Une (toute) Dernière Chance" ?

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  • J'Arrête Quand je Veux de Coralie Khong-Pascaud

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec J'Arrête Quand Je Veux ?

       "Je connais un peu Coralie par les réseaux sociaux, j'avais vraiment apprécié son premier roman Loin de Berkley Hall et j'ai donc été ravie qu'elle me propose également de lire celui-ci."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Élisa ne se déplace jamais sans son smartphone vissé à la main et son fiancé n'en peut plus ! Alors qu'elle pense que ce n'est qu'une petit dispute de plus, il lui pose un ultimatum : lui ou le téléphone..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "L'auteur a une plume agréable, le texte est facile et agréable à lire, tout glisse, rien ne m'écorche l'oreille - oui, pour moi les textes sont comme des mélodies. J'ai également aimé le thème choisi, étant moi-même complètement accro à mon téléphone, je me sens un peu visée, et la plongée dans le monde de l'édition n'est pas pour me déplaire non plus. Donc écriture et cadre, top. J'ai également adoré toute la partie qui se déroule à la campagne et j'ai donc été un peu déçue qu'elle soit si courte et arrive si tard, d'autant qu'on l'attendait depuis la scène d'introduction. J'aurais également aimé une héroïne un peu moins dans la maladresse, on en a déjà tellement vu, et j'avoue que j'ai un peu de mal à ressentir de l'empathie pour Élisa quand elle passe sa pause-déjeuner chez le coiffeur au lieu de se rendre à une importante réunion qu'elle a complètement zappé. Enfin, et j'en suis désolée, l'histoire d'amour n'a pas vraiment fait vibrer mon petit coeur romantique."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "La fin se précipite un peu et j'ai tiqué à plusieurs reprises. Hop, j'échange deux mots avec un tel ou un tel et dix ans de rancunes et de rancoeurs sont envolées. C'est magique ! Mais vous me connaissez, je m'attarde toujours sur beaucoup de petits détails mais ça ne veut pas dire que je n'ai pas aimé l'ensemble et j'ai passé un agréable moment de déconnexion avec ce livre.

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques des livres Coralie Khong-Pascaud

     

    Alors, vous craquez pour "J'Arrête Quand je Veux" ?

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  • Mini-Accro du Shopping de Sophie Kinsella

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Mini-Accro du Shopping?

       "J'ai découvert Sophie Kinsella dès la sortie en France des aventures de Becky, l'accro du shopping, ça commence donc à dater mais je ne me lasse pas de sa plume et de son humour qui vous mettent toujours de bonne humeur."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Becky a eu une fille. Une mini-elle donc, déjà accro à la carte Visa de ses parents et aux fringues de luxe avant même d'avoir atteint ses trois ans, ce qui ne manquera pas de créer des tensions entre ses parents."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous?

       "Même si je pense que Sophie Kinsella est un génie de la chick-lit, l'accro du shopping, ou du moins les tomes qui ont suivi le premier opus, n'ont pas ma préférence. Et ça se vérifie de nouveau ici. Le problème c'est que pour faire durer une série telle que celle-ci, il faut que l'héroïne reste stupide et ne s'améliore pas, ça facilite les situations cocasses. Donc plus on avance, plus j'ai envie de gifler Becky. Et son mari semble d'accord avec moi, d'ailleurs, pendant une grande partie du livre, on se demande vraiment ce qu'ils font ensemble, rien ne se dégage de ce couple. Dans le troisième tiers de l'histoire, justement celui où elle fait enfin des efforts, on commence à la prendre en pitié alors que l'on sait pertinemment qu'elle recommencera à nous taper sur les nerfs dès le prochain tome. Mais c'est la force de l'auteur. Du coup, on pardonne tout, on oublie et on rigole, c'est tout ce qu'on demandait. Et je vous ai parlé de sa gosse insupportable?"

    • Et comment cela s'est-il fini?

       "Ça reste malgré tout du Sophie Kinsella, même les moins bons sont géniaux. Alors en dépit d'un début un peu difficile, je sais que je me jetterai sur ses prochains romans et même sur les futures aventures de Becky à Hollywood."

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques des romans de Sophie Kinsella ICI

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