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  • Là où tu Iras j'Irai de Marie Vareille

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Là où tu Iras J'Irai ?

       "J'ai reçu ce roman grâce à un concours Lune et Plume et j'en étais plus que ravie parce que j'ai envie de découvrir la plume de Marie Vareille, plébiscitée sur la blogosphère et fan de Jane Austen si je ne m'abuse, depuis longtemps déjà !"

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Isabelle a toujours voulu être actrice mais sa carrière ne décolle pas et quand son copain la quitte après qu'elle ait refusé de l'épouser, elle touche le fond. Alors quand une adolescente lui propose de la payer pour séduire son père, célèbre producteur, à cause de sa ressemblance avec sa femme défunte, difficile de dire non..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous?

       "C'est le cas typique, je suis sûre que vous connaissez : j'ai commencé ce roman avant d'aller me coucher, en me disant "juste un chapitre ou deux pour me mettre dans l'ambiance" et j'ai tourné la dernière page à trois heures du matin sans avoir vu le temps filer. Je pense que ça en dit long sur ce que j'ai pensé de ce roman. Alors bon, oui, j'ai trouvé l'héroïne parfois un peu trop caricaturale dans le côté idiot, la scène finale bien trop rocambolesque mais quand on prend tant de plaisir à lire un livre qu'on ne peut pas le lâcher avant la dernière page, c'est vraiment tout ce qui compte non ?"

    • Et comment cela s'est-il fini?

       "Pour vous dire ce que j'ai pensé de la fin, il faudrait que j'échange deux mots avec l'auteur parce qu'il y a une toute petite phrase que j'ai du mal à interpréter, ou plutôt que j'ai peur d'avoir bien interprétée. Et si c'est le cas, alors c'est la déconfiture totale !! Défendre tout au long du roman un point de vue courageux et qui m'a fait tellement de bien pour faire marche arrière au dernier moment, c'est juste tellement mais tellement décevant !"

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...

    Catégories : Lire en Légèreté 4 commentaires
  • Toute la Vérité de Karen Cleveland

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Toute la Vérité ?

       "Un roman d'espionnage écrit par une ancienne analyste de la CIA, c'est quand même plutôt tentant, non ?"

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Vivian, maman de quatre enfants et analyste à la CIA s'apprête à faire une grande avancée dans son travail grâce à un algorithme qu'elle a créé. Mais parmi les photos d'agents dormants russes qu'elle pense avoir débusqués, elle tombe sur celle de son mari. Toute sa vie serait-elle donc basée sur un mensonge ?"

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous?

       "Honnêtement, c'est un super roman, plein de rebondissements et de révélations à couper le souffle, avec quand même un petit air de déjà vu à la Blacklist. Il règne une telle tension qu'il est véritablement très difficile de le lâcher avant d'avoir le fin mot de l'histoire. Bien sûr, le fait que l'auteur ait elle-même travaillé pour la CIA ajoute une touche de réalisme à la fois excitante et effrayante (les agents dormants sont parmi nous !). Malgré tout, certaines choses me semblent un peu énorme et par dessus tout, j'ai eu du mal avec l'héroïne dont les actes sont parfois particulièrement stupides pour quelqu'un qui est censé travailler pour la plus redoutable agence de renseignement du Monde. Alors bien sûr, lorsque les sentiments entrent dans l'équation, lorsqu'il s'agit de sauver la vie de votre mari et de vos enfants, il est plus difficile d'être rationnel mais quand même. Dans tous les cas, j'ai du mal à croire qu'une femme puisse rester avec son mari en apprenant ce qu'elle apprend, et alors même que tout au long du roman elle se rappelle toutes les façons dont il l'a manipulée."

    • Et comment cela s'est-il fini?

       "J'ai vraiment aimé la fin et ses surprises que j'espérais plus que je les attendais mais je reste sur mon sentiment précédent malgré tout. Ça ne m'empêche pas pour autant d'être curieuse de ce qu'écrira Karen Cleveland à l'avenir et de vous recommander celui-ci sans hésiter."

     

        Mlle Alice, merci, et à jeudi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques de la Bête Noire ICI

    Catégories : Lire et Enquêter 3 commentaires
  • Une Bonne École de Richard Yates

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Une Bonne École ?

       "Il y a tellement d'auteurs qui sont classés dans notre esprit comme valant la peine d'être lu qu'il est bien sûr impossible de tous les connaître. Mais lorsque l'occasion se présente, il ne faut pas hésiter."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Chronique d'une "bonne" école du Connecticut au début des années quarante, de ses élèves, de ses professeurs, de leurs rêves et des leurs espoirs..." 

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous?

       "La quatrième de couverture nous parle du regard attendri de l'auteur sur ses années de jeunesse, sur les petites et les grandes humiliations de l'adolescence. Si lui a eu le temps de prendre du recul, le lecteur lui, est projeté directement dans cet univers difficile pour les plus faibles. Pas que ce soit vraiment nouveau pour nous. Si ça l'était peut-être à l'époque, la télé et le cinéma se sont chargés depuis de nous dépeindre maintes fois ces univers en huis clos. Le harcèlement scolaire est également un sujet plus que d'actualité aujourd'hui mais plonger au coeur de cet univers cruel, avec ces professeurs, au mieux, indifférents, n'est pas très agréable et je ne peux pas dire que j'ai pris grand plaisir à cette lecture. Le sentiment qui domine en fait est plutôt la confusion et ne pas connaître non plus la limite entre la part autobiographique et romancée nous déroute un peu plus."

    • Et comment cela s'est-il fini?

       "Ce qui attend ces jeunes après le pensionnat, c'est la guerre. À la fin du livre, l'auteur fait le bilan de ceux qu'il a revu par la suite et de ceux, nombreux, qui n'en sont pas revenus. Comme le reste du livre, c'est un peu brusque, un peu sec."

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain... 

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