Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

littérature coréenne - Page 4

  • Last of the Talons de Sophie Kim

    Imprimer
    • last of the talons, littérature coréenne, mythologie coréenne, Sophie kim, corée du sud, passion corée, littérature jeunesseMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Last of the Talons ?

       "Encore l'un des nombreux livres qui avait rejoint l'une de mes nombreuses listes de livres coréens ou autour de la Corée et qui est venu augmenter ma PAL à l'occasion d'une offre sur la version numérique."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Shin Lina appartient au gang des Blackbloods mais n'allez pas croire que ce soit de son plein gré. Pas que cela ne la dérange de voler ou de tuer mais si elle obéit à Kalmin, leur chef, c'est uniquement pour protéger sa petite soeur. Alors quand ce dernier va être enlevé par un Dokkaebi, elle n'aura d'autre choix que de le suivre dans l'autre Royaume pour le ramener..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Avant toute chose, j'aimerais préciser que le fait d'avoir lu ce roman en numérique a, je pense, influencé mon avis final. Je n'avais qu'une hâte, revenir au livre papier, et cela a sûrement accentué mon impression de longueurs et de répétitions. Pour autant, ça ne change rien au fait que l'intrigue est extrêmement classique, peu de surprises ici. Ce n'est pas mauvais pour autant, c'est même plutôt sympathique, mais à part le folklore coréen, un très bon point pour moi, ça manque quand même un peu d'originalité. L'autrice emploie de plus une double temporalité, ou du moins, de nombreux retours dans le passé, un procédé qui m'agace presque toujours, et comme ici le suspense est vraiment inexistant, j'aurais de loin préféré savoir dès le début ce qu'il en était de ces évènements. Ça n'aurait rien gâché et cela aurait permis de donner un peu d'épaisseur au personnage principal qui en manque cruellement. Je ne l'ai pas trouvée très attachante et  beaucoup de ses réactions ne m'ont pas parue cohérentes. Heureusement, le dokkaebi est là."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "S'il y a une chose qui est vraiment réussi dans ce roman, c'est cette fin. J'ai adoré l'idée, assez même pour me donner envie de lire la suite malgré mes nombreuses réserves mais comme il y a encore deux tomes, j'hésite. Affaire à suivre."

     

        Mlle Alice, merci, et à samedi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques autour de la Corée du Sud ICI

    et toutes celles sur la littérature coréenne, par LÀ

     

    Alors, vous craquez pour "Last of the Talons" ?

  • Éclair & Tonnerre de Han Kang et Jin Tae Ram

    Imprimer
    • éclair et tonnerre, éclair & tonnerre, Han Kang, Jin tae ram, littérature jeunesse coréenne, album jeunesse, littérature coréenne,corée du sud,korean lit,hangukMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Éclair & Tonnerre ?

       "Quelle belle surprise de découvrir que Han Kang avait aussi écrit un album, en plus de ses nouvelles et romans, en plus de sa poésie. Il était impensable que je passe à côté et je remercie les éditions Gallimard Jeunesse de me l'avoir envoyé."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Que se pass-t-il quand deux petites fées sont fatiguées de fabriquer des nuages et voudraient plutôt explorer le monde..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "C'est une histoire toute mignonne, joliment écrite et que je conseille particulièrement à tous les petits et grands enfants qui auraient peur de l'orage. Han Kang prouve ici qu'elle peut s'adapter à tous les genres et qu'elle peut même laisser de côté exceptionnellement cet aspect si particulier de sa plume pour s'adresser aux enfants. J'ai aussi beaucoup aimé les illustrations de Jin Tae Ram, les visages malicieux de ces deux petites fées en particulier, j'ai moins apprécié peut-être la coloration et le flou du trait qui ne correspondent tout simplement pas à mes goûts. En tous cas, je ne lisais que très rarement des albums pour enfants avec de m'intéresser à la Corée du Sud et c'est encore l'un des aspects que je suis ravie de découvrir petit à petit grâce à ma passion pour ce pays et cette culture."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Je me demande ce que peut bien encore nous réserver Han Kang maintenant."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques autour de la Corée du Sud ICI

    et toutes celles sur la littérature coréenne, par LÀ

     

    Alors, vous craquez pour "Éclair & Tonnerre" ?

  • Ces Soirs Rangés dans mon Tiroir de Han Kang

    Imprimer
    • Han Kang, ces soirs rangés dans mon tiroir, poésie, prix Nobel de littérature, littérature coréenne, corée du sud, passion corée, hangukMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Ces Soirs Rangés dans mon Tiroir ?

       "Je voulais résister, je n'avais pas prévu de craquer, je croyais même avoir réussi mais ce livre ne cessait de m'appeler. Je veux tout lire d'Han Kang, le moindre de ses mots et Grasset a eu la gentillesse de m'envoyer ce recueil pour combler ce désir."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Les poèmes de Han Kang, traduits en français et rassemblés dans cet ouvrage, nous ouvrent une porte sur son univers et ses thèmes de prédilection..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Je l'ai souvent répété, la poésie ce n'est pas mon univers. J'ai adoré ça plus jeune mais aujourd'hui je n'y suis plus très sensible et par-dessus le marché, je ne comprends pas bien l'intérêt d'une poésie traduite. Ça part mal du coup, non ? Mais ça ne m'empêche pas de faire quelques exceptions, pour une raison très simple, c'est un incroyable révélateur (d'une personne, d'un pays, d'une culture...) et ça, c'est quelque chose qui me passionne et qui m'attire. Alors je ne m'extasie peut-être pas sur chaque poème que j'ai pu lire (ce qui ne m'empêche pas d'avoir noté quelques très belles phrases) mais je suis une nouvelle fois frappée par la puissance de la plume de Han Kang et par ses obsessions aussi, ces sujets ou ces mots qui reviennent sans arrêt comme la mort, le sang mais aussi la neige, sa langue, sa bouche... Et bien sûr, je ne sais pas ce que cela dit d'elle exactement mais ça m'intrigue et m'interroge, et j'aime ça."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Et bien même si je suis toujours un peu effrayée par la poésie et la conscience que j'ai d'y être parfois un peu hermétique, j'ai bien l'intention de continuer à en lire de temps en temps. Quant à Han Kang, vivement le prochain."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques des oeuvres de Han Kang ICI

    et toutes celles sur la littérature coréenne, par LÀ

     

    Alors, vous craquez pour "Ces Soirs Rangés dans mon Tiroir" ?

    Catégories : Lire de la Poésie 0 commentaire