Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

passion corée - Page 4

  • Été, Quelque Part, des Cadavres de Park Yeon-Son

    Imprimer
    • été quelque part des cadavres, park Yeon-seon, thriller coréen, policier coréen, roman noir coréen, Corée du Sud, littérature coréenne, passion coréeMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Été, Quelque Part, des Cadavres ?

       "Il fait partie des policiers sortis chez Matin Calme dont j'avais vraiment entendu de bons retours et je suis ravie d'avoir pu le trouver et le lire malgré la fermeture de la maison d'édition."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Musun a été désignée par sa famille pour tenir compagnie à sa grand-mère quelques temps. Alors qu'elle s'ennuie à la campagne, elle part sur la trace de ses souvenirs d'enfance et va découvrir que l'été de ses 5 ans, quatre jeunes filles de son entourage ont disparu..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Très honnêtement, ça partait plutôt mal. J'ai trouvé le début long et comme l'héroïne, je me suis ennuyée ferme. En plus, cette Musun, qui s'adresse directement à nous comme si on était amis, n'est pas forcément très sympathique et il n'y a pas non plus d'enquête à proprement parler. Oui, ça fait beaucoup. Et pourtant, au fil des pages, j'ai fini par m'immerger dans cette ambiance léthargique, sous un soleil de plomb, par apprécier le cadre et la vie étrange de ce petit village touché par le drame. Et puis, bien sûr, je voulais savoir. Contre toute attente, j'ai donc aimé ma lecture. J'ai même aimé que Munsun n'enquête pas vraiment, qu'elle soit consciente que ce n'est pas son rôle mais qu'elle veuille juste élucider un mystère qui la concerne et que cela soulève un à un tous les voiles qui s'étaient déposés sur le passé. Les différentes révélations nous remuent et nous bousculent, je me doutais de certaines et je me suis laissée surprendre par d'autres. J'aurais juste préféré que deux d'entre elles ne soient pas si similaires."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Étrangement, la seule chose qui reste un peu floue, c'est pourquoi la boîte au trésor de Munsun contenait-elle des objets qui ne lui appartenaient pas, c'était pourtant le fil rouge de toute cette histoire..."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques autour de la Corée du Sud ICI

    et toutes celles sur les polars coréens, par LÀ

     

    Alors, vous craquez pour "Été, Quelque Part, des Cadavres" ?

    Catégories : Lire et Enquêter 0 commentaire
  • The God and the Gwisin de Sophie Kim

    Imprimer
    • The god and the gwisin, Sophie Kim, folklore coréen, littérature coréennee, Corée du Sud, fantômes, dieux, passion coréeMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec The God and the Gwisin ?

       "J'ai lu et aimé le premier tome de cette série de Sophie Kim alors il n'y avait aucune chance que je passe à côté du second mais j'ai en plus eu la chance de le recevoir en service de presse numérique via la plateforme de Netgallley."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Plus de 30 ans après la mort de Hani, Seokga, le dieu de la ruse, est toujours à la recherche de sa réincarnation mais lorsqu'il va enfin la trouver, il sera peut-être déjà trop tard..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "J'ai encore plus aimé que le premier. Peut-être parce que je connaissais déjà les personnages, que l'on entre tout de suite dans le vif du sujet ou que je savais à quoi m'attendre mais vraiment, je me suis régalée. Le folklore coréen reste à l'honneur, pour mon plus grand plaisir, mais c'est l'humour que j'ai le plus apprécié, le point fort de ce tome-ci il me semble. Je ne me souvenais pas que c'était si drôle ou alors c'est la situation, la croisière, le bébé... La romance aussi est réussie, même si ce n'est pas ce que je recherche en priorité, et particulièrement touchante, notamment grâce au lien unique qui relie les deux héros. Comme dans le premier, j'ai également adoré la relation entre les deux frères qui prend ici un tournant inattendu. L'enquête, elle, est beaucoup plus anecdotique, il est vrai, mais je m'amusais tellement que je m'en suis accommodée sans presque le remarquer. Presque."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Ce n'est pas une fin ouverte et elle est parfaite telle qu'elle est, d'ailleurs je pensais qu'il s'agissait d'une duologie et ça m'allait très bien, moi qui n'aime pas les séries à rallonge mais avec le potentiel qui reste à exploiter et les éléments mis en place dans les dernières pages, je serais vraiment déçue si nous n'avions pas une suite !"

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques autour de la Corée du Sud ICI

    et toutes celles sur la littérature coréenne, par LÀ

     

    Alors, vous craquez pour "The God and the Gwisin" ?

  • Last of the Talons de Sophie Kim

    Imprimer
    • last of the talons, littérature coréenne, mythologie coréenne, Sophie kim, corée du sud, passion corée, littérature jeunesseMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Last of the Talons ?

       "Encore l'un des nombreux livres qui avait rejoint l'une de mes nombreuses listes de livres coréens ou autour de la Corée et qui est venu augmenter ma PAL à l'occasion d'une offre sur la version numérique."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Shin Lina appartient au gang des Blackbloods mais n'allez pas croire que ce soit de son plein gré. Pas que cela ne la dérange de voler ou de tuer mais si elle obéit à Kalmin, leur chef, c'est uniquement pour protéger sa petite soeur. Alors quand ce dernier va être enlevé par un Dokkaebi, elle n'aura d'autre choix que de le suivre dans l'autre Royaume pour le ramener..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Avant toute chose, j'aimerais préciser que le fait d'avoir lu ce roman en numérique a, je pense, influencé mon avis final. Je n'avais qu'une hâte, revenir au livre papier, et cela a sûrement accentué mon impression de longueurs et de répétitions. Pour autant, ça ne change rien au fait que l'intrigue est extrêmement classique, peu de surprises ici. Ce n'est pas mauvais pour autant, c'est même plutôt sympathique, mais à part le folklore coréen, un très bon point pour moi, ça manque quand même un peu d'originalité. L'autrice emploie de plus une double temporalité, ou du moins, de nombreux retours dans le passé, un procédé qui m'agace presque toujours, et comme ici le suspense est vraiment inexistant, j'aurais de loin préféré savoir dès le début ce qu'il en était de ces évènements. Ça n'aurait rien gâché et cela aurait permis de donner un peu d'épaisseur au personnage principal qui en manque cruellement. Je ne l'ai pas trouvée très attachante et  beaucoup de ses réactions ne m'ont pas parue cohérentes. Heureusement, le dokkaebi est là."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "S'il y a une chose qui est vraiment réussi dans ce roman, c'est cette fin. J'ai adoré l'idée, assez même pour me donner envie de lire la suite malgré mes nombreuses réserves mais comme il y a encore deux tomes, j'hésite. Affaire à suivre."

     

        Mlle Alice, merci, et à samedi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques autour de la Corée du Sud ICI

    et toutes celles sur la littérature coréenne, par LÀ

     

    Alors, vous craquez pour "Last of the Talons" ?