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Books are my Wonderland - Page 276

  • The Widow of Windsor de Jean Plaidy

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec The Widow of Windsor ?

       "Dernier tome de cette saga sur l'un de mes personnages historiques préférés, je l'ai lu directement après le précédent, aussi impatiente de découvrir la suite que d'en finir avec la série je dois dire."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Ce dernier tome retrace la vie de la Reine Victoria et de sa famille, de la mort de son mari Albert jusqu'à son propre décès; le deuil, le pouvoir et les mariages stratégiques de ses nombreux enfants dans toutes les grandes familles d'Europe..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Jamais je n'aurais pensé qu'un livre pourrait ternir l'image que j'ai de la Reine Victoria et, pire encore, me faire préférer son fils Bertie. Et bien, c'est chose faite. Victoria s'enferme complètement dans son deuil après la mort d'Albert mais heureusement ce tome se concentre également sur ses enfants, leur mariage et leur descendance et en particulier sur les deux aînés, Bertie et Vicky. Cette dernière est assez épouvantable mais entre le rejet de son peuple d'adoption et son fils abominable, elle en sera bien punie. Quant à Bertie, je le découvre très différent de ce à quoi je m'attendais. On commence par le prendre en pitié à cause de la façon dont ses parents le traitent, puis en affection. Il n'est pas parfait mais il aime sa femme, chérit ses enfants et ne prends pas son rôle à la légère. Bon d'accord, il joue, perd des sommes astronomiques, entretient un grand nombre d'actrices mais l'on se rend vite compte que l'on est prêt à tout lui pardonner ou presque. Si la Reine Victoria est presque absente de ce tome comme elle l'a été de la vie publique après la mort de son mari, l'histoire ne manque pas de péripéties et de rebondissements pour autant."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Même si les différents tomes sont très inégaux, que je n'ai pas aimé certains passages et que j'ai découvert une Victoria bien moins plaisante que ce que je voulais imaginer, j'ai pris plaisir à lire cette saga et j'y ai appris un grand nombre de choses. Je ne regrette pas ma lecture."

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques autour de la Reine Victoria ICI

    Et celles de cette saga en particulier LÀ

     

    Alors, vous craquez pour "The Widow of Windsor" ?

  • Le Chuchoteur de Donato Carrisi

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Le Chuchoteur ?

       "Depuis quelques années déjà, Donato Carrisi se fait une place confortable dans le domaine du polar et il faut bien admettre que ses couvertures sont attrayantes. J'ai donc profité des Quais du Polar à Lyon pour le rencontrer et acquérir son premier opus, aux critiques dithyrambiques."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Mila Vasquez est experte en disparition et elle-même travailler seule. Lorsque six petits bras sont découverts alors que seulement cinq petites filles ont été déclarées enlevées, elle va devoir intégrer une nouvelle équipe afin de les aider à trouver l'identité de la dernière victime."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "J'ai beaucoup aimé l'héroïne dès le départ mais je trouve que ses fêlures sont plutôt mal amenées. Leur cause est assez évidente et peu originale dans ce genre de roman, quant au résultat, lorsque finalement l'auteur nous révèle son problème, je n'ai pas trouvé ça crédible une seconde. Mais c'est dur de ne pas tomber dans les clichés des flics écorchés et ça ne m'a pas empêché d'apprécier les différents personnages. Pour ce qui est de l'action, et des révélations, c'est assez énorme. Trop en fait. Il se passe tellement de choses que finalement, on n'a même plus le temps d'être choqué ou époustouflé, qu'un nouvel évènement est venu tout balayer. Du coup, au lieu de finir en apothéose, ça retombe comme un soufflet. Je ne dis pas que je n'ai pas aimé ma lecture, loin de là, mais elle n'a pas provoqué l'effet escompté je pense et j'ai presque de la peine pour l'auteur qui s'est donné tant de mal sans réussir à provoquer le moindre orgasme littéraire (désolée, c'est la comparaison la plus parlante qui me soit venue !)."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Honnêtement, je suis un peu déçue par la fin. Là encore, certaines révélations sont géniales et d'autres sont franchement attendues, voire décevantes. De plus, quand je lis un polar, j'aime bien avoir le sentiment en le refermant que justice a été rendue, ce qui n'est absolument pas le cas ici."

       

       "PS/ Il y a peu, Babelio faisait une enquête sur les couvertures des romans et je me rappelle avoir dit que comparer un livre à un autre est toujours une grave erreur. Ici, le Chuchoteur est comparé à Millénium. Heureusement que je n'avais pas vu cette citation avant, la déception aurait été terrible. Non seulement, ce livre n'a absolument rien à voir avec Millénium mais il crée en plus son propre style et n'a pas besoin d'être comparé à quoi que ce soit d'autre. Voilà, c'était le coup de gueule du jour."

     

        Mlle Alice, merci, et à jeudi prochain...

     

    Alors, vous craquez pour "Le Chuchoteur " ?

    Catégories : Lire et Enquêter 0 commentaire
  • The Baker's Daughter de D.E. Stevenson

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec The Baker's Daughter ?

       "Je suis littéralement amoureuse de ces couvertures et heureusement, les histoires de D.E. Stevenson sont toujours à la hauteur parce que même sans ça, je crois que je serais capable de les acheter ! C'est donc avec bonheur que j'ai reçu celui-ci à mon anniversaire."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Depuis la mort de sa mère, Sue a arrêté l'école et s'est occupée de son frère, de son père et de la maison. Mais depuis que celui-ci s'est remarié, elle ne sait plus où est sa place et c'est pour cela que lorsqu'elle apprend que les Darnay cherche une cuisinière, elle se propose tout de suite, malgré l'isolement de leur maison et le comportement fantasque du mari, peintre."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "L'auteur nous plonge toujours dans l'ambiance de petits villages anglais bien douillets. Ici, nous sommes en Écosse mais le plaisir est évidemment le même, voire décuplé pour moi qui ne rêve que d'Edimbourg. Très vite, on se laisse entraîner par la jeune Sue qui n'a rien vu du monde et qui sait pourtant bien ce qu'elle veut, et qui est très indépendante malgré son jeune âge. Ce sont à la fois sa force et sa naïveté qui vont faire tout le charme du livre et nous entraîner de rebondissements en rebondissements. La palette des personnages est un peu moins variée que d'habitude, du fait de la vie assez isolée de Sue, mais n'en est pas moins toujours aussi variée et passionnante, avec cette plume et cet humour qui ont fait le succès de l'auteur en son temps et que je redécouvre à chaque fois avec grand plaisir. Ajoutez à cela quelques réflexions bien senties sur l'art et la peinture et me voilà conquise."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "J'ai finalement trouvé cette histoire très moderne pour l'époque - le livre a été écrit juste avant la seconde guerre mondiale - et du coup, moins attendue que ce que l'on aurait pu croire. Bien sûr, il est question d'une happy ending mais ce roman ne manque pas d'originalité pour autant. J'ai hâte de découvrir mon prochain D.E. Stevenson et j'en ai d'ailleurs déjà un autre dans ma PAL."

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques des livres de D.E. Stevenson ICI

    et la chronique de Celia's House, réécriture de Mansfield Park, sur Jane Austen is my Wonderland

     

    Alors, vous craquez pour "The Baker's Daughter" ?