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  • C'est l'Heure où le Monde s'Agrandit

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    • éditions bruno doucey,bruno doucey,poésie,poésie coréenne,c'est l'heure où le monde s'agrandit,kim hyun-ja,jeong keut-byul,lee young-kwang,kwak hyo-hwan,lee byung-ryul,kim sun-woo,shim bo-seon,jin eun-young,moon tae-jun,an heon-mi,you hee-kyoung,park joon,corée du sud,hanguk,passion coréeMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec C'est l'Heure où le Monde s'Agrandit ?

       "Vous le savez, je ne résiste pas dès lors que l'ouvrage à le moindre rapport avec la Corée du Sud, même s'il s'agit de poésie apparemment. Et je remercie les éditions Bruno Doucey de m'avoir envoyé ce bel opus."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Cette anthologie, établie par Kim Hyun-ja, nous propose de découvrir onze auteurs coréens différents à travers dix de leurs poèmes..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "J'ai assez souvent répété que je n'étais pas très sensible à la poésie pour que cette lecture étonne. Mais deux éléments m'ont donnée envie de m'y plonger : la poésie est en général une façon interessante de mieux connaître un pays, sa culture et les sujets de préoccupation de ses auteurs. J'étais donc curieuse de découvrir la Corée du Sud sous ce prisme. L'autre raison, c'est qu'il ne s'agit pas ici d'un seul et même auteur mais de onze poètes différents, hommes et femmes, d'âges variés et l'idée me tentait dès lors plus que tout un recueil de la même plume. Le travail de l'éditeur est également à saluer et j'aime particulièrement que certains poèmes soient proposés dans les deux langues. Nul doute que je vais prendre plaisir à en recopier quelques-uns dans mes carnets dédiés à cette passion."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Je n'ai pas eu une révélation soudaine en ce qui concerne la poésie mais non seulement je ne regrette pas un instant d'avoir lu ce recueil mais j'ai même envie d'en découvrir encore un peu plus. Il faut dire que la collection est si jolie !"

     

        Mlle Alice, merci, et à samedi prochain...

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  • Les Billes du Pachinko d'Elisa Shua Dusapin

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    • les billes du pachinko,elisa shua dusapin,hanguk,livre coréen,littérature coréenne,immigration,japon,déracinementMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Les Billes du Pachinko ?

       "Même si Hiver à Sokcho n'a pas été un coup de coeur, son ambiance très particulière m'a marquée durablement et j'avais très envie de lire son second roman autour de la Corée. Un voyage en train fut le moment idéal pour cela."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Les grands-parents de Claire ont immigrés au Japon pendant la guerre de Corée, puis sa mère est partie vivre en Suisse, où la jeune femme a grandi. Aujourd'hui, elle souhaite ramener son grand-père et sa grand-mère pour quelques jours dans leur pays d'origine, afin qu'ils le revoient une dernière fois, mais eux, le veulent-ils vraiment..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Avec ce deuxième roman, Elisa Shua Dusapin confirme son talent pour les ambiances particulières, marquantes et dérangeantes à la fois. Ses personnages sont toujours perdus, les sentiments à peine effleurés... Il est difficile de ne pas éprouver une impression de malaise pendant la lecture. Mais ces errances nous entraînent avec elles et les sujets abordés ici, avec toute la pudeur qu'ils méritent, sont touchants. Les conséquences d'une guerre, l'obligation aussi bien que le choix d'émigrer, les répercussions que cela aura sur toute une famille, sur plusieurs générations, l'impossibilité de revenir en arrière et de se sentir encore chez soi quelque part, c'est tout cela que contient ce tout petit roman."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "J'ai beaucoup aimé cette fin, abrupte, triste d'une certaine manière et en même temps, chargée d'espoir, tournée vers l'avenir. Si ces histoires ne ressemblent à rien de ce que je lis d'habitude, je leur trouve un côté fascinant assez addictif."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

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  • Hiver à Sokcho d'Élisa Shua Dusapin

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    • hiver à sokcho, Elisa shua dusapin, littérature coréenne, hanguk, Corée du Sud, sokchoMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Hiver à Sokcho ?

       "Ce titre revient très souvent lorsque l'on s'intéresse à ce qui a pu être publié autour de la Corée mais j'avais un peu peur que ça ne me plaise pas en lisant les différentes chroniques. Finalement, c'est l'avis positif de Carolivre qui a fini par me convaincre."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Une jeune coréenne isolée, rêvant d'ailleurs, dans une ville qui tourne au ralenti, un français usé qui écrit des bandes-dessinés, dessine la nuit des femmes sans jamais être satisfait, une rencontre..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Ce n'est assurément pas un roman qui plaira à tout le monde et, il y a quelques temps encore, il ne m'aurait peut-être pas plu non plus. Mais les choses étant ce qu'elles sont, ma passion pour la Corée du Sud, mon amour grandissant pour leur littérature et cette façon qu'ils ont de se livrer tout en pudeur, avec si peu de mots, j'ai beaucoup aimé ma lecture. Il y a un côté cru, brut, que j'ai vraiment apprécié dans la plume de l'autrice et qui nous happe directement dans le récit pourtant, il y a peu d'histoire. Il s'agit d'une tranche de vie, de la rencontre passagère de deux entités à la dérive, rien de plus, rien de moins, avec en toile de fond la ville de Sokcho, comme un troisième personnage, et cette ambiance pesante et particulière que l'on peut ressentir dans une ville balnéaire l'hiver."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Sur ce point, je ne change pas, j'aime qu'une histoire est un début et une fin et j'ai forcément trouvé celle-ci légèrement frustrante mais il suffit peut-être de savoir lire entre les lignes."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

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