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Lire des Romans - Page 26

  • Mon Bel Oranger de José Mauro de Vasconcelos

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Mon Bel Oranger ?

       "Chose peut-être étrange, c'est ma psy qui m'a conseillée ce livre, en m'avertissant toutefois que bien qu'il soit considéré comme un livre jeunesse, il était extrêmement dur..."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Zézé est un enfant de cinq ans qui grandit dans une famille très pauvre, qui a la main leste quand il s'agit de le punir. D'ailleurs, il en est persuadé, il a le diable en lui, puisque tout le monde le dit. À moins que sa précocité et sa sensibilité hors norme n'y soient pour quelque chose..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Je n'ai pas trouvé le début long, comme j'ai pu le lire dans plusieurs chroniques, mais c'est vrai que les éléments essentiels, ceux que l'on a besoin de connaître pour bien appréhender la situation, mettent du temps à venir. Pour autant, je ne me suis pas ennuyée parce qu'il est difficile de ne pas se prendre d'affection pour se petit garçon à l'imagination débordante, qui a appris à lire tout seul et qui apporte des fleurs à sa maîtresse parce qu'elle est la seule à ne pas en recevoir. Il y a de nombreux passages qui sont des petits bijoux dans ce texte et qu'il doit falloir lire plusieurs fois pour bien en apprécier toutes les facettes. La sensibilité de Zézé me touche et j'ai espéré avec lui, aimé avec lui et souffert avec lui. Je crois que j'ai rarement pleuré aussi franchement en lisant un livre."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Je n'aime que les "Happy End" alors cette lecture ne fut pas facile mais, malgré tout, je ne regrette pas ma rencontre avec Zézé. En revanche, il est vrai que je ne conseillerais pas ce titre à de jeunes enfants. Maintenant, il ne me reste plus qu'à essayer de comprendre pourquoi ma psy a eu envie de m'orienter vers ce livre !"

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...

     

    Alors, vous craquez pour "Mon Bel Oranger" ?

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  • Un Manoir en Cornouailles d'Eve Chase

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Un Manoir en Cornouailles ?

       "Les Éditions Nil revoient complètement leur charte graphique et dans dans ce cadre que leurs nouvelles parutions m'ont été proposées. Quand on voit la couverture et le titre de celui-ci, inutile de me demander pourquoi j'ai craqué."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Lorna aimerait se marier dans un manoir en Cornouailles, quelque chose qui est plus d'âme que ce qu'elle et son fiancé ont visité jusque-là. Quand elle tombe sur les lapins noirs, elle ressent une attraction inexplicable pour la maison et sa présence va mettre à jour les fantômes du passé..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous?

       "Le récit se déroule parallèlement à deux époques différentes. Ça, pour moi, c'est le bémol. Je ne suis pas très friande de ce procédé et il m'est d'ailleurs arrivé de sauter des pages pour rester avec les mêmes personnages puis de revenir en arrière par la suite. Mais cela mis à part, on se laisse quand même facilement emporter par ce tourbillon de malheurs. Plus les pages se tournent, plus la tension monte. On sent arriver la catastrophe et l'ambiance s'alourdit. J'avoue que je m'attendais à quelque chose de plus léger et qu'il faut quand même avoir le coeur bien accroché mais les secrets de famille, le manoir, les Cornouailles, les lapins noirs sont autant d'éléments qui nous empêchent de lâcher l'histoire avant d'avoir tout découvert, de tout savoir, même si aucune révélation n'est très étonnante."

    • Et comment cela s'est-il fini?

       "Bien sûr, la fin est joyeuse, tout s'arrange, dans la mesure du possible. Pour autant, ça n'efface pas le passé et le sentiment de tristesse et de gâchis persiste à la fermeture du livre, accentué par la précipitation de certains évènements et un bond soudain du passé au présent alors que s'attarder sur les instants joyeux nous aurait mis un peu de baume au coeur."

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...

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  • Une Colonne de Feu de Ken Follett

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Une Colonne de Feu ?

       "Depuis le temps que j'entends parler de Ken Follett, il était quand même grand temps que je me lance, d'autant que j'avais adoré l'adaptation des Piliers de la Terre avec Eddie Redmayne."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "En 1558, alors que Marie Tudor est toujours sur le trône d'Angleterre, le jeune Ned rentre à Kingsbridge avec l'espoir d'épouser Margery mais sa famille a prévu une union plus prestigieuse pour la jeune fille..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous?

       "Dès le départ, nous nous retrouvons projetés dans une histoire à la Roméo et Juliette et on veut forcément en savoir plus. La saga historique, dans une Angleterre en plein chamboulement, mêlée à la saga familiale fonctionnent à la perfection et les pages se tournent facilement. On traverse les années avec ces personnages que l'on aime ou que l'on déteste, que l'on attend de voir triompher ou tomber, on découvre l'Espagne, le Nouveau Monde, le Pays-Bas, la France et l'Angleterre, on parle amour, esclavage, politique, religion et histoire et on apprend énormément de choses ! Bref, on ne peut pas s'ennuyer. J'ai adoré ce roman qui m'a rappelé London, d'Edward Rutherfurd : l'histoire de Londres de sa création à nos jours à travers la vie de plusieurs générations d'une même famille. Ce que j'ai aimé également c'est que, la plupart du temps, Ken Follett réussi le difficile exercice de ne pas prendre parti pour les uns et pour les autres, surtout en terme de religion et ce n'était pas gagné d'avance. Donc de l'imagination, une belle plume et une grande érudition, je tire mon chapeau à l'auteur."

    • Et comment cela s'est-il fini?

       "J'ai peu de reproches à faire à ce roman mais je n'aime pas et n'ai jamais aimé les pavés. Les livres qui m'ont fait changer d'avis sur le sujet se comptent sur les doigts d'une main (le Trône de Fer, Harry Potter, Une Place à Prendre) et celui-ci n'en fait pas partie. Je dois dire que sur les cent dernières pages, j'avais rudement hâte d'en finir."

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...

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