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hanguk - Page 18

  • Carnets d'Enquête d'un Beau Gosse Nécromant de Jung Jaehan

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    • Carnets d'enquête d'un Beau Gosse nécromant, Jung jaehan, policier coréen, hanguk, littérature coréenne, corée du sud, café nimamdang, seo in-guk, matin calmeMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Carnets d'Enquête d'un Beau Gosse Nécromant ?

       "Je ne peux pas dire que ce soit le titre qui m'ait attirée et encore moins la couverture mais vu le peu de romans coréens traduits en français et la difficulté que j'ai à les trouver, je ne fais pas la fine bouche. Celui-ci avait l'air amusant et il vient d'être adapté en drama."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Aidé par sa soeur, hackeuse de génie, et par son ami Su-Cheol, enquêteur, Nam Han-Jun se fait passer pour un chamane doté de grands pouvoirs. Mais en voulant monter toujours plus haut, il pourrait bien finir par tomber sur un os, ou même sur un squelette entier..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "C'est peut-être parce que je regarde déjà pas mal de k-dramas, et que je visualise parfaitement celui-ci avec l'acteur Seo In-Guk (Doom at your Service) dans le rôle principal que j'ai pu plonger aussi facilement dans cette histoire et honnêtement, je me suis régalée. Pourtant, le mélange des genres policier/humour, c'est rarement mon truc mais ici ça fonctionne parfaitement. Et si les pouvoirs du chaman sont faux, les enquêtes, elles, sont bien réelles et bien ficelées. On retrouve des thèmes récurrents pour qui s'intéresse un peu aux problèmes actuels de la société coréenne, comme par exemple le harcèlement scolaire, le suicide ou la corruption, traités intelligemment et de façon interessante à travers les différents clients du voyant. Quant à la plongée dans les différents quartiers de Séoul, c'est un bonus non négligeable."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "J'espère vraiment que l'auteur en écrira d'autres et qu'ils continueront à être traduits parce que je serais vraiment triste de devoir quitter si vite le faux chaman Nam Han-Jun. En attendant, je file regarder le drama, Café Minamdang."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

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  • Les 4 Enquêtrices de la Supérette Gwangseon de Jeon Gunwoo

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    • les 4 enquêtrices de la supérette gwangseon, jeon gunwoo, littérature coréenne, hanguk, polar coréen, matin calmeMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Les 4 Enquêtrices de la Supérette Gwangseon ?

       "Je n'ai cessé de croiser ce roman en librairie et mon oeil était toujours attiré par la couverture et le nom de l'auteur visiblement coréen. Mais les critiques en ligne n'étaient pas très bonnes, j'ai donc préféré attendre la sortie poche pour me faire ma propre idée."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Miri et ses amies se retrouvent dans la supérette du quartier pour quelques travaux de couture et une bonne séance de papotage. Ce qui les inquiète dernièrement, c'est cette homme qui agresse les femmes dans leur résidence sans que la police n'arrive à mettre la main dessus. Alors une idée leur vient, si elles enquêtaient elles-mêmes..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Ceci n'est pas un cosy mystery. Je répète, ceci n'est pas un cosy mystery. Je suppose que c'est la couverture qui en a induit en erreur plus d'un et ceci expliquant cela, je peux comprendre que certains aient été déçus de leur lecture. Parce que si le roman regorge d'humour, que ce sont bien des femmes au foyer désespérées qui enquêtent, les crimes eux, ne prêtent pas à rire. Certaines scènes sont glauques, violentes ou inquiétantes donc si ce n'est pas ce que vous recherchez, passez votre chemin. La traduction aussi, quand on ne connaît pas du tout la façon dont les coréens s'adressent les uns aux autres, peut dérouter. Mais pour ma part, je me suis régalée. Vraiment. De la première à la dernière ligne. Ma seule petite déception, c'est que l'un des éléments de l'intrigue m'a vraiment semblé trop évident alors que je suis d'habitude plus surprise par les intrigues coréennes mais c'est bien peu en comparaison du plaisir que j'ai pris à ma lecture."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Il faut décidément que j'arrête de regarder les avis sur les polars coréens parce que je suis rarement d'accord finalement. J'espère vraiment qu'il y aura une suite à ce roman et que je pourrai retrouver Miri et les autres pour une nouvelle enquête."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

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  • Généalogie du Mal de Jeong You-Jeong

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    • généalogie du mal, jeong you-jeong, littérature coréenne, polar coréen, thriller coréen, hanguk, passion corée, sociopathe, psychopatheMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Généalogie du Mal ?

       "Toujours dans ma quête de romans coréens, et peut-être même plus particulièrement de thrillers coréens, qui correspondent davantage à mon genre de lectures, je suis tombée sur ce titre très attirant, avec une dimension psychologique qui ne pouvait que me séduire."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Un matin comme un autre, Yujin se réveille couvert de sang et découvre le corps de sa mère. Problème : impossible de se souvenir de la nuit passée. Avant d'appeler la police, il lui paraît indispensable de retracer les évènements de la veille..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "C'est un roman vraiment particulier. Yujin est le narrateur de l'histoire et pour remonter le fil de ses souvenirs, il ne va nous épargner aucun détail, aucun retour en arrière, aucune interrogation. Il ne faut donc pas être pressé de voir l'intrigue se dérouler. Une seule journée va s'écouler tout au long de ce récit et en même temps, toute une vie. Et si on s'y laisse prendre, si on s'intéresse un minimum à ce qu'il peut se passer dans le cerveau d'une personne, c'est juste fascinant. J'ai vraiment eu du mal à lâcher ce livre et j'ai trouvé que cet aspect était mené de façon magistrale. En revanche, j'ai déploré le manque de suspense. Je pense que c'est le résultat de plusieurs éléments combinés : la quatrième de couverture, les chroniques que j'ai pu lire et la construction du récit elle-même. Une chose est sûre, rien ne m'a vraiment étonnée et ça m'a quand même un peu manquée."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "J'ai vraiment aimé la fin qui, pour moi, est l'illustration même de ce qui me séduit tant dans les histoires coréennes, que ce soit dans certains romans ou dans certains dramas. Un sens du réel bien particulier, qui ne ressemble en rien à ce que j'ai pu voir ailleurs."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

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