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hanguk - Page 19

  • Séoul Copycat de Lee Jong-Kwan

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    • séoul copycat, Séoul, thriller coréen, littérature coréenne, passion corée, hanguk, Corée du Sud, lee jong-kwanMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Séoul Copycat ?

       "Je l'ai souvent croisé en librairie mais j'avais envie d'en lire d'autres avant celui-ci et puis, j'ai fini par me dire qu'au moment où je le voudrai, il n'y serait sûrement plus, comme toujours, alors je l'ai pris. Si ça ce n'est pas un raisonnement infaillible !"

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Un homme se réveille à l'hôpital mais tout est noir, aussi bien devant ses yeux que dans sa tête. Il ne se souvient pas qu'il s'appelle Lee Suyin, ni qu'il est inspecteur de police, ni même de l'accident qui l'a amené ici alors qu'il poursuivait un serial killer. Mais il va devoir retrouver la mémoire au plus vite s'il ne veut pas devenir à son tour la proie..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "J'ai aimé l'ambiance de ce roman. Très vite, on comprend que l'on nous ment, au héros comme au lecteur. On soupçonne tout le monde, on échafaude différentes théories et certaines se révéleront juste mais pas toutes. Alors que je pensais être déçue par la fin, avoir tout deviné, le troisième tiers du livre opère un virage interessant et nous propose des rebondissements inattendus. Les non dits et la pudeur coréenne ajoutent  une dimension supplémentaire à tout cela, comme l'obscurité dans laquelle évolue Lee Suyin qui est à la fois métaphorique et réelle. Tous les passages dans lesquels il se fie aux bruits pour se repérer et se rassurer sont très bien traités d'ailleurs."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Ce n'est pas un coup de coeur mais c'est un polar honnête. Je suis un peu frustrée de ne pas avoir eu toutes les réponses à la fin mais, là encore, c'est tellement coréen que je commence à m'y faire."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

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    et toutes celles sur les polars coréens, par LÀ

     

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  • Le Portrait de la Traviata de Do Jinki

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    • le portrait de la traviata, do Jinki, littérature coréenne,polar coréen,thriller coréen,hanguk,passion coréeMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Le Portrait de la Traviata ?

       "Tout ce qui est coréen m'attire l'oeil au milieu de l'étal des libraires. Après être passée devant cette publication à plusieurs reprises et en avoir lu les premières pages sans pouvoir les oublier, j'ai fini par craquer."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "L'inspecteur Lee Yuhyeon a un doute. Il a arrêté un suspect de meurtre, l'a envoyé devant le tribunal mais il a un doute. Alors quand ce dernier est relâché faute de preuves et qu'il doit recommencer son enquête à zéro, il décide de demander l'aide de Gojin, l'avocat de l'ombre..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Je resors de ma lecture avec un sentiment un peu mitigé. J'ai beaucoup aimé le début. Le policier doit reprendre toute son enquête et on suit son raisonnement, ses doutes, les interrogatoires et la récolte des preuves. L'énigme semble s'épaissir à chaque fois qu'il la retourne dans un sens ou dans l'autre. L'avocat Gojin, même s'il est peu présent, est aussi un personnage interessant et intrigant, tous les éléments sont là pour fabriquer un très bon roman policier. Mais au bout d'un moment, on cesse d'avancer, on tourne même un peu en rond et surtout, plus les pages se tournent, plus l'inspecteur semble incapable de réfléchir par lui-même, de vérifier les pistes les plus élémentaires. Il s'en remet tellement à Gojin qu'il en devient idiot, et c'est vraiment décevant. Et puis bizarrement, il m'a manquée également un peu de Corée dans tout ça. L'intrigue aurait tout aussi bien pu se dérouler ailleurs."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Je n'avais pas trouvé le meurtrier mais il faut dire que la solution est assez tordue. Je reste quand même un peu perplexe en le refermant mais comme il s'agit d'une série, je donnerai sûrement sa chance au tome suivant pour me faire une meilleure idée. En revanche, je cherche toujours le rapport du titre avec le reste."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

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  • Xoxo d'Axie Oh

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    • xoxo, axie oh, corée, Corée du Sud, hanguk, littérature coréenne, americano coréenne, romance, drama coréenMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Xoxo ?

       "Je suis ravie de découvrir la littérature coréenne de toutes sortes mais j'avais également envie de romans doudous, proches de certains dramas romantiques comme ils savent si bien les faire et malheureusement, ce ne sont pas ceux qui sont traduits chez nous... Je me suis donc tournée vers ce livre d'Axie Oh, une américano-coréenne, qui a le mérite de placer son intrigue à Séoul."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Jenny, prodige du violoncelle, rencontre Jaewoo à Los Angeles, lors d'une soirée particulière, mais déjà il doit repartir en Corée du Sud. Lorsqu'elle s'y rend elle-même quelques mois plus tard pour rendre visite à sa grand-mère, elle espère bien renouer avec le jeune homme, mais il y a certaines choses qu'elle ne sait pas sur lui..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Le moins que l'on puisse dire, c'est que ça fait le job. Efficacement. C'est extrêmement chou, ça met du baume au coeur, et je dois même avouer que j'ai eu beaucoup de mal à le lâcher et que je n'ai vu défiler ni les pages, ni les heures de lecture. Ça ne m'arrive pas si souvent que ça, et encore moins quand je lis en anglais, donc c'est vraiment un gage de qualité pour moi. Après, peut-être que j'ai autant aimé parce que je n'ai pas déjà lu dix romances adolescentes coréennes qui tournent autour du même sujet, comme je sais qu'il en existe. Et bien sûr que j'ai levé les yeux au ciel face à toutes ces coïncidences bien pratiques mais ce n'est vraiment pas très grave. Ce que je trouve dommage en revanche, c'est la sous-exploitation de certains éléments qui étaient pourtant déjà mis en place. Le manque d'approfondissement est un reproche récurrent que je fais à la littérature jeunesse mais là, en plus, les idées était là et ne demandait pas grand chose pour apporter la petite touche magique en plus."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Le sentiment général reste le même : chou, chou, chou. J'ai d'ores et déjà commandé un autre roman de l'autrice, fantastique cette fois, qui sort en plus en français le moi prochain sous le titre La Fiancée du Dieu de la Mer. J'espère que Xoxo sera également traduit par la suite.

       À noter que c'est Zipcy, dont je vous parle dans ma chronique précédente, qui a si joliment illustré la couverture de Xoxo."

     

        Mlle Alice, merci, et à samedi prochain...

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