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littérature jeunesse - Page 2

  • Young-Soon Perdue dans le Temps d'Eric Senabre

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    • young-soon perdue dans le temps, Eric senabre, didier jeunesse, littérature coréenne, Corée du Sud, passion hanguk, littérature jeunesseMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Young-Soon, Perdue dans le Temps ?

       "C'est mon amie Chloé qui m'a informée de la sortie de ce roman et cet éditeur, Didier Jeunesse, m'intriguait déjà alors je n'ai pas hésité à les contacter et j'ai eu la chance de recevoir le roman quelques jours plus tard dans ma boîte aux lettres."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Young-Soon est à la frontière épineuse entre l'enfance et l'adolescence et les questions sur son adoption se bousculent dans sa tête. Mais lorsqu'elle trouve un téléphone qui vient du futur, les réponses sur son avenir semblent à portée de clic..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "C'est un petit roman très chou, plein d'émotions qui m'ont fait monter les larmes aux yeux à plusieurs reprises... C'est très jeunesse aussi mais ce n'est jamais niais. La plume d'Eric Senabre est simple, adaptée à son public et c'est un réel plaisir de lecture. J'ai beaucoup aimé aussi la façon dont il introduit différents aspects de la Corée pour le jeune lecteur qui ne connait pas encore forcément le pays, son histoire et ses traditions. Enfin, j'ai trouvé que l'une des idées en rapport avec le voyage dans le temps était tout simplement géniale et mériterait d'être réexploitée dans un roman plus complexe !

       J'applaudis aussi le travail de la maison d'édition. La couverture est absolument sublime et il y a même un petit marque-page offert à l'intérieur. Ça donne envie de se pencher plus avant sur leurs différentes publications."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "J'avais un peu peur de côté voyage dans le temps, surtout dans un roman jeunesse. Parfois, c'est trop complexe, parfois trop incohérent mais ici tout se tient et toutes les réponses sont données au lecteur avant la dernière page et j'ai vraiment apprécié cela."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

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    et toutes celles sur la littérature coréenne, par LÀ

     

    Alors, vous craquez pour "Young-Soon Perdue dans le Temps" ?

  • The Hen Who Dreamed she Could Fly de Sun-Mi Hwang

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    • the hen who dreamed she could fly, littérature coréenne, littérature jeunesse, Sun-mi Hwang, conte, corée du sudMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec The Hen Who Dreamed she Could Fly ?

       "Dès que l'auteur est coréen, je suis irrémédiablement attirée par un livre et même si celui-ci n'évoque absolument pas le pays, l'histoire de cette petite poule m'intriguait."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Sprout est une poule pondeuse mais elle ne supporte plus d'être enfermée, ne supporte plus qu'on lui prenne chaque jour ses oeufs. Tout ce qu'elle veut c'est vivre libre dans la cour de la ferme et pouvoir couver paisiblement..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "C'est un très joli conte pour enfants. C'est tendre, parfois triste. Ça parle de liberté, de courage et de différences. D'amour maternel aussi. C'est poétique et émouvant et j'ai beaucoup aimé faire la rencontre de cette petite poule. Je comprends pourquoi le livre a été traduit dans de nombreux pays et adapté à plusieurs reprises mais ça reste un conte pour enfants. S'il n'était pas épuisé en français, je l'offrirais sans aucun doute à tous ceux de mon entourage mais en tant qu'adulte, je ne sais pas si au-delà de la lecture plaisante, il me restera grand chose de cette histoire mais peut-être que je me trompe. Et ça ne m'empêche pas pour autant d'avoir envie de lire les autres romans de l'autrice. Après tout, ça ne fait jamais de mal de retomber un peu en enfance."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Comme cela devait finir, nous étions prévenus, mais on retrouve bien ici le côté souvent doux amer de la littérature coréenne, plus réaliste que nos sempiternels "tout est bien qui finit bien."

     

        Mlle Alice, merci, et à samedi prochain...

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    Alors, vous craquez pour "The Hen who Dreamed she Could Fly" ?

  • Enola Holmes et la Marque de la Mangouste de Nancy Springer

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    • Enola Holmes, Enola Holmes et la marque de la mangouste, littérature jeunesse, littérature anglaise, Sherlock Holmes, roman policierMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec La Marque de la Mangouste ?

       "Je lis très peu de jeunesse et pourtant j'ai une affection particulière pour cette petite Enola Holmes, piquante, indépendante et intelligente. Je remercie les éditions Nathan de m'avoir envoyé ce neuvième tome de ses aventures."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Un homme grossier refuse de confier son affaire à la jeune Enola lorsqu'il apprend que le Docteur Ragostin n'existe pas. Il n'en faudra pas plus pour érafler la fierté de notre jeune enquêtrice et la convaincre de prouver à ce malotrus à quel point il a tort en retrouvant son ami..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "L'autrice a décidé cette fois d'utiliser des personnes réels pour son enquête. Je trouve que c'est un procédé toujours un peu risqué mais l'un d'entre eux, le plus célèbre, m'a vraiment amusée (si vous voulez savoir de qui il s'agit, je vous laisse lire le résumé officiel). Cela m'a donné envie de me renseigner plus avant et j'ai appris que son beau-frère, que l'on croise ici aussi, était mort seulement deux ans après la date à laquelle est située l'intrigue, ça gâche quand même un peu le happy ending. D'ailleurs, Nancy Springer, dans sa petite note de fin, a choisi de ne pas le mentionner.

       Pour le reste, j'ai aimé retrouver Enola et Sherlock bien sûr, même si celui-ci est peut-être un petit peu trop présent, tout en étant assez peu efficace, ce qui n'est pas très vraisemblable. J'ai aimé aussi en apprendre plus sur la rage, et la façon dont Pasteur et d'autres médecins ont pu travailler pour trouver un remède à ce mal absolument terrible. Mais alors que j'avais trouvé que dans cette deuxième partie de la série, celle écrite après le premier film, on était un cran au-dessus des précédents, il m'a semblé que celui-ci manquait à nouveau d'un petit quelque chose en plus. Et est-on vraiment obligés d'avoir le détail de chacune des nombreuses tenues d'Enola ?"

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Bon, ce n'est peut-être pas le meilleur de la série, j'en conviens, mais est-ce que cela va m'empêcher de continuer à suivre Enola et de me régaler ? Certainement pas !"

     

        Mlle Alice, merci, et à samedi prochain...

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    Alors, vous craquez pour "Enola Holmes et la Marque de la Mangouste" ?