Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

passion corée

  • No One Writes Back de Jang Eun-Jin

    Imprimer
    • no one writes back,jang eun-jin,littérature coréenne,passion hanguk,corée du sud,hanguk,passion coréeMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec No One Writes Back ?

       "J'ai exploré les différents titres de cette collection, qui m'attirait beaucoup au demeurant, Corée du Sud oblige, à la recherche de celui par lequel j'allais commencer et forcément, cette histoire de lettres ne pouvait que me séduire."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Jihun voyage à travers tout le pays, de motel en motel, accompagné de son chien aveugle et chaque soir écrit une lettre à une personne rencontrée au cours de ce périple, en attendant qu'enfin quelqu'un lui réponde..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "C'est un récit emprunt de mélancolie qui m'a séduit dès ses premières pages. On s'attache beaucoup aux différents personnages et le sentiment de solitude du héros m'a profondément touchée. J'ai aimé cheminer et évoluer avec lui, apprendre à mieux le connaître par petites touches délicates. J'aurais pu souligner tellement de passages de ce roman tellement c'est joli et bien écrit (et très accessible en anglais). Et bien sûr, j'applaudis le plaidoyer pour la lettre manuscrite qui m'a donné envie de ressortir tout de suite tout mon nécessaire de correspondance. La seule chose que je regrette un peu peut-être, c'est de ne pas avoir croisé encore plus de personnalités différentes, lus encore plus de lettres du héros. Il y a avait vraiment de quoi étoffer le récit."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "J'ai adoré la fin qui, tout en étant difficile, arrive à être lumineuse. Je regrette vraiment que ce roman ne soit pas traduit en français parce que sinon je passerais mon temps à le recommander et à l'offrir, d'autant que la Corée y est vraiment anecdotique (pour ceux qui ne sont pas attirés par ce pays)."

     

        Mlle Alice, merci, et à samedi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques autour de la Corée du Sud ICI

    et toutes celles sur la littérature coréenne, par LÀ

     

    Alors, vous craquez pour "No One Writes Back" ?

  • White Blood, Volume 3 à 5 de Lim Lina

    Imprimer
    • white blood, park Hayan, Lim Lina, mangea, manga coréen, Corée du sud, hanguk, passion coréeMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec White Blood ?

       "J'avais bien aimé les deux premiers tomes mais le temps passant, l'envie d'acheter le suivant ne se faisait pas sentir. J'ai donc finalement décidé de continuer la série directement sur l'application Webtoon."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Hayan et Euntae continuent à enquêter sur des phénomènes qui se produisent autour d'eux pour se rapprocher des vampires les plus puissants et se débarrasser d'eux..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Le problème c'est que l'intrigue est très linéaire. L'autrice ne semble pas vouloir gérer trop de personnages à la fois, trop d'arcs narratifs différents, alors tout les éléments sont présentés les uns après les autres, ce qui rend le tout assez plat. Dans les premiers temps, j'aime toujours, surtout Hayan, de plus en plus forte, le genre de personnage féminin dont on a besoin, le flic et sa petite soeur aussi, mais le fait que je n'ai pas acheté la version papier en dit quand même assez long. Et puis est arrivé le tome 5, que j'ai vraiment trouvé en-dessous des autres et qui m'a donné envie d'arrêter ma lecture, alors même qu'en termewhite blood,park hayan,lim lina,mangea,manga coréen,corée du sud,hanguk,passion corée d'intrigue, on approche enfin le coeur du problème. J'ai préféré faire une petite pause dans ma lecture en ligne, pensant la reprendre un peu plus tard pour lire les trois derniers tomes, mais ça n'est finalement jamais arrivé. Moi qui suis très curieuse pourtant et qui déteste ne pas terminer une série, à aucun moment je n'ai ressenti le besoin d'y revenir, ni regretté de ne pas le faire. Je vais donc m'arrêter là."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Ce n'est définitivement pas un coup de coeur, je crois qu'on l'aura compris. Ce n'est pas mauvais du tout mais je pense que je n'étais pas le coeur de cible de cette série et comme beaucoup d'autres me tentent, autant ne pas s'attarder."

     

        Mlle Alice, merci, et à samedi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques de manhwas coréens ICI

    et toutes celles des livres autour de la Corée, par LÀ

     

    Alors, vous craquez pour "White Blood 3" ?

    Catégories : Lire en Images 0 commentaire
  • 80 Mots de Corée du Sud de Martine Prost

    Imprimer
    • 80 mots de Corée du Sud, asiathèque, Martine Prost, passion corée, Corée du Sud, passion hanguk, hangukMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec 80 Mots de Corée du Sud ?

       "Tout ce qui concerne la Corée du Sud finit tôt ou tard dans mes wishlists, j'ai donc été ravie que ce livre soit proposé à la dernière masse critique non fiction de Babeliol'occasion parfaite pour le découvrir."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "La Corée du Sud à travers 80 mots qui dessinent les contours de son histoire, de sa culture et de son peuple..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "La rencontre réussie entre ce livre et moi n'a pas eu lieu mais je suis consciente que c'est essentiellement à cause de mes attentes. J'étais vraiment intriguée par cette collection qui se décline avec d'autres pays et d'autres langues. Je pensais qu'il s'agissait à la fois d'une porte d'entrée vers la Corée et vers les ouvrages de l'Asiathèque, une ouverture au grand public en somme mais il ne m'a pas semblé que c'était le cas. Le niveau est plutôt soutenu et si je ne connaissais pas déjà le sujet, j'aurais souvent été perdue. Et puis surtout il s'agit en fait, et la quatrième de couverture ne mentait pas sur le sujet d'ailleurs, d'une histoire de souvenirs et de ressentis, ceux de l'autrice elle-même. C'est sa vision à travers des anecdotes, de sa vie actuelle là-bas comme de sa première découverte du pays dans les années 70, et à travers ces 80 mots bien sûr, et parfois leur étymologie, Martine Prost étant docteur en linguistique. C'est loin d'être inintéressant, l'alchimie n'a juste pas fonctionné sur moi.

       Pour finir, sur une petite note amusante, l'autrice évoque à deux ou trois reprises les français en comparaison aux coréens et je me dis qu'on ne doit vraiment pas connaître les mêmes français."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Je n'oublierai pa마음, le coeur, j'ai beaucoup aimé cette description là, et rien que pour cela je relirai sûrement ce recueil à un moment où je serai peut-être plus réceptive. J'ai également toujours autant envie de découvrir d'autres ouvrages de la collection comme celui sur l'Inde ou sur le Vietnam par exemple."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques autour de la Corée du Sud ICI

     

    Alors, vous craquez pour "80 Mots de Corée du Sud" ?

    Catégories : Lire et Apprendre 0 commentaire