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  • Death Note, Tome 2 à 12, de Tsugumi Ohba et Takeshi Obata

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Death Note?

       "J'avais découvert ce manga grâce à ma nièce qui a eu la gentillesse de tous me les prêter et j'avais beaucoup aimé le premier tome, très différent de tout ce que j'ai pu lire jusque là."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Light Yagami possède toujours le Death Note qui lui permet de tuer l'individu de son choix et il s'en sert pour faire de la planète un endroit plus sûr. La police ne voit pas les choses à sa façon cependant et le recherche activement avec l'aide de L, le génie détective."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous?

       "Pour ne pas redire dix fois la même chose, j'ai décidé de ne faire qu'un seul billet pour les tomes 2 à 12 de cette série, pourtant deux parties très inégales se dégagent selon moi. Jusqu'au septième tome j'ai vraiment adoré ce manga qui nous pousse vraiment à réfléchir, non seulement sur des sujets moraux mais aussi pour rester au niveau des deux personnages principaux qui sont particulièrement intelligents et qui utilisent toujours de nouveaux stratagèmes. Les retournements de situation sont nombreux et certains chamboulent complètement notre perception du héros, on l'aime, on le déteste, on ne sait plus. Malheureusement, j'ai été assez déçue par la conclusion de cette partie de l'histoire et je n'ai plus autant accroché à la suite qui n'est qu'un éternel recommencement de ce qui a déjà été dit et fait."

    • Et comment cela s'est-il fini?

        "Le dernier tome se surpasse en terme de stratégie et on découvre jusqu'où Kira est prêt à aller. J'ai trouvé qu'il était une parfaite conclusion de cette saga mais elle arrive quatre tomes trop tard selon moi." 

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        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

    Retrouvez ma chronique du premier tome du Death Note ICI

    et toutes mes chroniques de mangas LÀ.

    Catégories : Lire en Images 4 commentaires
  • Trois Hommes dans un Bateau de Jerome K. Jerome

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Trois Hommes dans un Bateau?

       "Trois Hommes dans un Bateau est un classique anglais dont j'avais beaucoup entendu parler, avec des avis assez mitigés d'ailleurs et que j'avais envie de découvrir. Ça tombe bien, il fait partie des romans présentés dans le très beau recueil de Robert Laffont: Les Chefs-d'Oeuvre de la Littérature de Jeunesse."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Le narrateur et deux de ses amis, complètement dénués de bon sens ou parfaitement idiots, c'est selon, décident de passer quelques jours de vacances sur la Tamise."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous?

       "Nous revoilà non seulement dans l'humour anglais mais plus particulièrement dans l'absurde total avec une succession de gags mais pas de véritable histoire. Et autant j'adore l'humour anglais, autant j'ai plus de mal avec l'absurde et j'ai véritablement besoin d'une bonne histoire pour accrocher à un livre. Ici, je l'avoue, j'ai donc eu beaucoup de peine à faire avancer ma lecture. Je pense que c'est un livre qui a certainement de grandes qualités, à commencer par la plume de l'auteur, mais qui n'est définitivement pas pour moi. Il plaira sans aucun doute aux amateurs de Wodehouse et de son Jeeves, dont auraient bien besoin ces jeunestrois hommes dans un bateau,jerome k. jerome,les chefs d'oeuvre de la littérature jeunesse,robert laffont,humour anglais gens (pour ceux qui connaissent l'irremplaçable majordome).

    • Et comment cela s'est-il fini?

        "Je dois bien avouer que j'ai fini cette histoire avec soulagement et que j'ai même un peu triché en sautant plusieurs passages durant lesquels le héros digresse complètement sur des sujets plus ou mois intéressants." 

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques des Chefs-d'Oeuvre de la Littérature de Jeunesse ICI

    et celle sur L'Inimitable Jeeves de P.G. Wodehouse LÀ.

  • Belle Époque d'Elizabeth Ross

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Belle Époque?

       "Je suis toujours de près la collection R qui offre de nombreux bonheurs de lecture. Ici ce sont aussi bien la couverture magnifique, l'époque, l'histoire inspirée de Zola mais aussi le fait qu'il n'y ait qu'un tome qui m'ont attirée."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Maude Pichon est une jeune fille sans grande beauté qui a fuit la province pour vivre la belle vie à Paris. Ses illusions vont malheureusement s'envoler aussi vite que ses économies et elle finira par accepter un emploi de repoussoir consistant à mettre en valeur ses riches et jolies clientes par sa propre insignifiance."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous?

       "C'est un livre qui m'a beaucoup rappelé Waterloo Nécropolis de Mary Hooperlu il y a peu et celles qui ont aimé apprécieront certainement également celui-ci. L'époque est bien dépeinte et la lecture agréable sans être par trop compliquée. L'héroïne se trouve face à des choix difficiles et aura des réactions très humaines dans lesquelles on se retrouve facilement, fera des erreurs, évoluera, se retrouvera. L'histoire est vraiment intéressante et peu commune et l'on comprend qu'à la lecture de la nouvelle de Zola, Elizabeth Ross n'ait pas résisté à l'envie de la développer, ce qu'elle fait parfaitement dans le respect de l'original. Mon grand regret en revanche est qu'elle ne joue pas le jeu à fond. Elle décide en effet de choisir une héroïne qui sera seulement quelconque et non particulièrement laide comme ses collègues et c'est là choisir un peu la facilité et finalement rentrer dans le jeu de ce qu'elle dénonce. Il est apparemment vraiment difficile de défendre le point de vue selon lequel l'apparence n'a pas d'importance."

    • Et comment cela s'est-il fini?

       "J'ai particulièrement apprécié que les Repoussoirs, nouvelle de quelques pages à peine de Zola, suive Belle Epoque. La plume d'Elizabeth Ross souffre un peu de la comparaison mais il ne faut pas oublier que nous sommes tout de même en littérature jeunesse et que par-dessus tout, n'est pas Zola qui veut."

     

        Mlle Alice, merci, et à dimanche prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques de la Collection R ICI

    et celle de Waterloo Necropolis LÀ.

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