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Lire des Romans - Page 31

  • The Baker's Daughter de D.E. Stevenson

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec The Baker's Daughter ?

       "Je suis littéralement amoureuse de ces couvertures et heureusement, les histoires de D.E. Stevenson sont toujours à la hauteur parce que même sans ça, je crois que je serais capable de les acheter ! C'est donc avec bonheur que j'ai reçu celui-ci à mon anniversaire."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Depuis la mort de sa mère, Sue a arrêté l'école et s'est occupée de son frère, de son père et de la maison. Mais depuis que celui-ci s'est remarié, elle ne sait plus où est sa place et c'est pour cela que lorsqu'elle apprend que les Darnay cherche une cuisinière, elle se propose tout de suite, malgré l'isolement de leur maison et le comportement fantasque du mari, peintre."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "L'auteur nous plonge toujours dans l'ambiance de petits villages anglais bien douillets. Ici, nous sommes en Écosse mais le plaisir est évidemment le même, voire décuplé pour moi qui ne rêve que d'Edimbourg. Très vite, on se laisse entraîner par la jeune Sue qui n'a rien vu du monde et qui sait pourtant bien ce qu'elle veut, et qui est très indépendante malgré son jeune âge. Ce sont à la fois sa force et sa naïveté qui vont faire tout le charme du livre et nous entraîner de rebondissements en rebondissements. La palette des personnages est un peu moins variée que d'habitude, du fait de la vie assez isolée de Sue, mais n'en est pas moins toujours aussi variée et passionnante, avec cette plume et cet humour qui ont fait le succès de l'auteur en son temps et que je redécouvre à chaque fois avec grand plaisir. Ajoutez à cela quelques réflexions bien senties sur l'art et la peinture et me voilà conquise."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "J'ai finalement trouvé cette histoire très moderne pour l'époque - le livre a été écrit juste avant la seconde guerre mondiale - et du coup, moins attendue que ce que l'on aurait pu croire. Bien sûr, il est question d'une happy ending mais ce roman ne manque pas d'originalité pour autant. J'ai hâte de découvrir mon prochain D.E. Stevenson et j'en ai d'ailleurs déjà un autre dans ma PAL."

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques des livres de D.E. Stevenson ICI

    et la chronique de Celia's House, réécriture de Mansfield Park, sur Jane Austen is my Wonderland

     

    Alors, vous craquez pour "The Baker's Daughter" ?

  • Le Dernier Bain de Gwénaële Robert

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Le Dernier Bain ?

       "J'aime beaucoup cette collection et j'avais même particulièrement apprécié Tu seras ma Beauté du même auteur. J'avais d'ailleurs eu la chance de la rencontrer cette année au salon du livre de Paris et j'attendais depuis avec beaucoup d'impatience cette histoire autour du meurtre de Marat."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Dans le Paris de l'an II, deux jours avant l'assassinat du citoyen Marat, et à l'approche des grandes commémorations du 14 juillet, l'ambiance est électrique et ceux qui rêvent d'écourter la vie de l'Ami du peuple sont nombreux."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "J'ai adoré la forme que prend ce livre, proche du roman policier mais à la fois très original. Nous avons en effet une victime, que l'on ne plaint pas vraiment et que l'on finit même par avoir hâte de voir mourir nous-même, et différents personnages qui ont tous de très bonnes raisons de vouloir l'assassiner. Si nous ne connaissions pas déjà l'histoire, et donc le nom du meurtrier, le suspense serait insoutenable et je dois dire que, même comme cela, c'est très prenant. Pour autant, je trouve que ce n'est pas non plus exploité complètement puisque celle que l'on voit le moins finalement reste Charlotte Corday. Peut-être l'auteur n'a-t-elle pas voulu développer ce personnage pour rester au plus proche de ce que l'on sait vraiment mais à partir du moment où l'Histoire est romancée, j'ai vraiment trouvé dommage de se priver de toute une partie qui aurait pu être passionnante. En revanche, je tire mon chapeau pour cette ode aux femmes fortes, celles qui dans l'ombre ou dans la lumière, que l'on en soit conscient ou non, tiennent le destin de tous entre leurs mains gracieuses."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "C'était un peu rapide, un peu abrupt, comme la guillotine je suppose... Mais j'aurais bien aimé en savoir un peu plus sur le destin de chacun."

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques des livres de la collection Passe-Murailles ICI

    et ceux de Gwénaële Robert LÀ.

     

    Alors, vous craquez pour "Le Dernier Bain" ?

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  • Mon Bel Oranger de José Mauro de Vasconcelos

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Mon Bel Oranger ?

       "Chose peut-être étrange, c'est ma psy qui m'a conseillée ce livre, en m'avertissant toutefois que bien qu'il soit considéré comme un livre jeunesse, il était extrêmement dur..."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Zézé est un enfant de cinq ans qui grandit dans une famille très pauvre, qui a la main leste quand il s'agit de le punir. D'ailleurs, il en est persuadé, il a le diable en lui, puisque tout le monde le dit. À moins que sa précocité et sa sensibilité hors norme n'y soient pour quelque chose..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Je n'ai pas trouvé le début long, comme j'ai pu le lire dans plusieurs chroniques, mais c'est vrai que les éléments essentiels, ceux que l'on a besoin de connaître pour bien appréhender la situation, mettent du temps à venir. Pour autant, je ne me suis pas ennuyée parce qu'il est difficile de ne pas se prendre d'affection pour se petit garçon à l'imagination débordante, qui a appris à lire tout seul et qui apporte des fleurs à sa maîtresse parce qu'elle est la seule à ne pas en recevoir. Il y a de nombreux passages qui sont des petits bijoux dans ce texte et qu'il doit falloir lire plusieurs fois pour bien en apprécier toutes les facettes. La sensibilité de Zézé me touche et j'ai espéré avec lui, aimé avec lui et souffert avec lui. Je crois que j'ai rarement pleuré aussi franchement en lisant un livre."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Je n'aime que les "Happy End" alors cette lecture ne fut pas facile mais, malgré tout, je ne regrette pas ma rencontre avec Zézé. En revanche, il est vrai que je ne conseillerais pas ce titre à de jeunes enfants. Maintenant, il ne me reste plus qu'à essayer de comprendre pourquoi ma psy a eu envie de m'orienter vers ce livre !"

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...

     

    Alors, vous craquez pour "Mon Bel Oranger" ?

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