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passion hanguk - Page 2

  • Qui Veut la Guerre de Chang Kang-Myoung

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    • qui veut la guerre, chang Kang-myoung, thriller, dystopie, thriller dystopique, littérature coréenne, passion hanguk, Corée du Sud, Corée du Nord Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Qui Veut la Guerre ?

       "Une nouvelle publication de la très interessante maison d'édition Decrescenzo, spécialisée en littérature coréenne, que je ne voulais pas rater. Ce n'est pas la première et ça ne sera pas la dernière."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Dans une péninsule où la dynastie des Kim ce serait effondrée, Jang Rea-cher, ancien membre des forces spéciales nord-coréennes, se retrouve embarqué dans une enquête mêlant drogue, pouvoir et corruption..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Un thriller dystopique sur l'effondrement de la Corée du Nord, n'en dites pas plus, je mourrais d'envie de le lire ! Ce qu'installe l'auteur sur les conséquences de la chute du régime et l'ingérence internationale qui s'en suivrait est à la fois glaçant et extrêmement réaliste, il n'y a qu'à voir ce qu'il s'est déjà passé là-bas à la fin de la Seconde Guerre Mondiale, et nous montre sa grande connaissance de la nature humaine. Les descriptions de la situation sont passionnantes, notamment bien sûr en ce qui concerne la relation entre les nord et les sud-coréens, pour qui s'intéresserait un tant soit peu à l'histoire de ce pays divisé en deux mais c'est également tellement bien fait que le côté dystopique, imaginaire, m'a presque manquée. Finalement, je n'avais pas l'impression d'être transportée dans un monde qui n'existe pas. Et si on lui enlève cela, il reste un thriller prenant, bien mené, avec deux héros comme je les aime et toute une palette de méchants, mais assez classique."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Il m'a manqué un ingrédient, un peu de surprise, un retournement de situation inattendu peut-être pour que ce livre se démarque réellement mais rien que pour le contexte, il vaut la peine d'être lu. Et pour la finesse d'analyse de l'auteur, j'ai très envie de découvrir ses autres romans."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

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    et toutes celles sur les polars coréens, par LÀ

     

    Alors, vous craquez pour "Qui Veut la Guerre" ?

  • Les Petites Épiceries de mon Enfance de Lee Mekyeoung

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    • lee mekyeoung, les petites épiceries de mon enfance, album, beau livre, hanguk, livre sur la coréeMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Les Petites Épiceries de mon Enfance ?

       "C'est un livre dont la beauté des dessins m'a tout de suite attirée et que j'aurais certainement acheté peu importe le sujet mais comme, en plus, il m'emmène sur les routes de Corée du Sud, il était évident que sa place était dans ma bibliothèque."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Pendant plus de vingt ans, Lee Mekyeoung a parcouru son pays à la recherche de ces petites épiceries, pour les dessiner et garder une trace de ces commerces qui ont aujourd'hui tendance à disparaître..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Ce livre est un petit bijou. Les dessins sont d'une grande délicatesse, tous plus beaux les uns que les autres, et vous pouvez passer des heures à les admirer, à observer le moindre détail, ou encore à essayer comme moi de déchiffrer le nom de chaque épicerie. Beaucoup de ces bâtiments ont disparu aujourd'hui au nom de la modernisation et ce témoignage de leur existence est très émouvant. Et ce à quoi je ne m'attendais pas forcément, c'est que le texte qui les accompagne est tout aussi beau et touchant, emprunt de poésie et de nostalgie. Il y est question de l'enfance, de nos souvenirs et de tous ces moments envolés à jamais."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "J'ai adoré. J'ai maintenant envie de parcourir moi-même toute la Corée à la recherche de ces petites épiceries. Mais ce témoignage du temps qui passe ne se limite pas à ce pays, il est universel, et les oeuvres de l'artiste s'adressent à tous et plairont, je pense, à beaucoup."

     

        Mlle Alice, merci, et à samedi prochain...

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    Alors, vous craquez pour "Les Petites Épiceries de mon Enfance" ?

  • 80 Mots de Corée du Sud de Martine Prost

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    • 80 mots de Corée du Sud, asiathèque, Martine Prost, passion corée, Corée du Sud, passion hanguk, hangukMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec 80 Mots de Corée du Sud ?

       "Tout ce qui concerne la Corée du Sud finit tôt ou tard dans mes wishlists, j'ai donc été ravie que ce livre soit proposé à la dernière masse critique non fiction de Babeliol'occasion parfaite pour le découvrir."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "La Corée du Sud à travers 80 mots qui dessinent les contours de son histoire, de sa culture et de son peuple..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "La rencontre réussie entre ce livre et moi n'a pas eu lieu mais je suis consciente que c'est essentiellement à cause de mes attentes. J'étais vraiment intriguée par cette collection qui se décline avec d'autres pays et d'autres langues. Je pensais qu'il s'agissait à la fois d'une porte d'entrée vers la Corée et vers les ouvrages de l'Asiathèque, une ouverture au grand public en somme mais il ne m'a pas semblé que c'était le cas. Le niveau est plutôt soutenu et si je ne connaissais pas déjà le sujet, j'aurais souvent été perdue. Et puis surtout il s'agit en fait, et la quatrième de couverture ne mentait pas sur le sujet d'ailleurs, d'une histoire de souvenirs et de ressentis, ceux de l'autrice elle-même. C'est sa vision à travers des anecdotes, de sa vie actuelle là-bas comme de sa première découverte du pays dans les années 70, et à travers ces 80 mots bien sûr, et parfois leur étymologie, Martine Prost étant docteur en linguistique. C'est loin d'être inintéressant, l'alchimie n'a juste pas fonctionné sur moi.

       Pour finir, sur une petite note amusante, l'autrice évoque à deux ou trois reprises les français en comparaison aux coréens et je me dis qu'on ne doit vraiment pas connaître les mêmes français."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Je n'oublierai pa마음, le coeur, j'ai beaucoup aimé cette description là, et rien que pour cela je relirai sûrement ce recueil à un moment où je serai peut-être plus réceptive. J'ai également toujours autant envie de découvrir d'autres ouvrages de la collection comme celui sur l'Inde ou sur le Vietnam par exemple."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

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    Alors, vous craquez pour "80 Mots de Corée du Sud" ?

    Catégories : Lire et Apprendre 0 commentaire