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Books are my Wonderland - Page 64

  • Notre Pays d'Hélène Casado

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    • notre pays, le cycle d'imjin, guerre coréano-japonaise, invasion japonaise, atelier des cahiers, Hélène Casado, passion corée, littérature coréenne Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Notre Pays ?

       "Ce livre m'a été proposé par l'Atelier du Cahier, maison d'édition spécialisée dans la littérature coréenne et ça ne vous surprendra pas d'apprendre que j'ai eu du mal à dire non bien sûr."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Après avoir fait une chute et s'être cognée la tête, Ha-Neul se réveille en 1597, au beau milieu de l'invasion de la Corée par les japonais..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "J'avais un peu peur de me lancer dans cette série parce que je parcours souvent les avis des autres lecteurs et pour ce roman, ils étaient plutôt mitigés. Maintenant que je l'ai terminé, je peux dire que je les trouve finalement assez sévères. Alors oui, ce n'est pas parfait. Mes peurs se sont même concrétisées dans les premières pages. Pour moi, il y a un vrai problème de style, c'est surtravaillé sans que ça n'apporte rien et lorsque le naturel revient au galop, ça tranche un peu trop. Ce qui est d'autant plus dommage qu'à mon avis, ce qui semble être la plume naturelle de l'autrice, simple et directe, colle mieux à l'histoire. Il y a quelques scènes aussi qui m'ont fait lever les yeux au ciel mais malgré tout, ça se lit vraiment facilement et surtout, l'intrigue rattrape pour moi ces bémols. C'est un pan de l'Histoire passionnant et on sent qu'Hélène Casado maîtrise son sujet à 1000%. Peut-être que mon obsession pour la Corée du Sud me pousse à l'indulgence mais j'ai trop aimé plonger au coeur de ces évènements pour lui en tenir rigueur. Toute l'histoire est imprégnée de culture coréenne et j'ai adoré suivre l'esprit attaché à l'héroïne et les jeoseung saja qui apportent enfin la touche d'humour tant attendue, j'aurais même voulu que la partie surnaturelle soit plus développée."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "L'essentiel pour moi reste que j'ai très envie de lire la suite et de retrouver Ha-Neul, en espérant qu'elle continuera à évoluer et, peut-être, que l'autrice nous offre un peu plus de profondeur psychologique."

     

        Mlle Alice, merci, et à samedi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques autour de la Corée du Sud ICI

    et toutes celles sur la littérature coréenne, par LÀ

     

    Alors, vous craquez pour "Notre Pays" ?

    Catégories : Lire et Imaginer 0 commentaire
  • La Mort de Tante Dimity de Nancy Atherton

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    • tante dimity, la mort de tante dimity, Nancy Atherton, une enquête d'outre-tombe, cosy mystery, cosy mystery américain, fantômes, cottage anglaisMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec La Mort de Tante Dimity ?

       "Quand un nouveau label voit le jour, je suis forcément attentive à ce qu'il va publier. C'est le cas pour Verso, nouveau venu de la maison d'édition Seuil, et l'un de ses premiers choix m'a tout de suite alléchée."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Toute son enfance, Lori a entendu les histoires de tante Dimity mais jamais elle n'a pensé que cette femme était réelle ! Alors lorsqu'elle apprend que celle-ci vient de mourir et lui demande de lui rendre un service, c'est un choc, mais dans le chaos de sa vie actuelle, c'est aussi une lueur d'espoir..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "La quatrième de couverture nous avait averti, c'est plus cosy que mystery. À vrai dire, je ne sais pas ce qu'il en sera des tomes suivants mais en ce qui concerne celui-ci, je ne le classerais pas du tout dans la catégorie des cosy mystery puisqu'aucun crime n'est commis. Les mystères sont en réalité les secrets qui se cachent dans le passé de Dimity et que Lori tente de découvrir. Ça n'empêche évidemment pas le roman d'être réussi. C'est très douillet, avec tous les éléments que l'on aime, un cottage dans la campagne anglaise, de la pluie, une virée à Londres, un château en Écosse et même une petite touche de surnaturel. La Seconde Guerre Mondiale est évoquée, certains passages sont émouvants et l'humour allège le tout. Je pense que c'est une série à laquelle je pourrais facilement prendre goût et dont j'ai déjà hâte de retrouver certains personnages et d'apprendre à mieux connaître les autres."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "On flirte parfois avec un tout petit peu trop de bons sentiments à mon goût donc à voir ce qu'il en sera de la suite et même si j'ai trouvé l'histoire d'amour mignonne, les bases sur lesquelles elles s'appuient sont un peu spéciales quand même, mais ce ne sont que de petits détails."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

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    Alors, vous craquez pour "La Mort de Tante Dimity" ?

  • Le Voleur d'Art de Michael Finkel

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    • le voleur d'art,michael finkel,marchialy,une histoire d'amour et de crimes,stéphane breitwieser,biographie,crimes célèbresMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Le Voleur d'Art ?

       "J'ai repéré ce livre lors d'une masse critique Babelio et j'étais intriguée par l'histoire. La maison d'édition Marchialy m'intéresse également particulièrement depuis que j'ai eu la chance de lire chez eux Les Fantômes du Lac."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "De 1994 à 2001, Stéphane Breitwieser a commis plus de 250 vols dans les musées européens et s'est approprié pour environ 2 milliards d'euros d'oeuvres d'art sans rencontrer beaucoup de résistance..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Je suis fascinée par ce genre de personnages, c'est pour cela que j'adore les romans/enquête de Philippe Jaenada, et en particulier Sulak. Et l'histoire de quelqu'un qui déjoue à ce point les statistiques, la malchance, la vigilance des musées et des enquêteurs, sans jamais faire preuve de la moindre violence, ne pouvait que m'intéresser. Du côté écriture, ce n'est pas Jaenada, c'est beaucoup plus factuel, aucune digression sur l'auteur lui-même, ce qui sera un soulagement pour certains, mais du coup, moins de panache aussi. Pour ce qui est du "héros", contrairement à ce que l'on pense au début, il n'est pas non plus des plus sympathiques finalement. Mais ses exploits restent absolument incroyables, le hasard, la négligence des musées n'y sont certainement pas pour rien, mais le sang-froid dont il est capable et sa réactivité font plus que leur part du travail. Ce livre regorge d'anecdotes toutes plus incroyables les unes que les autres, et pourtant vraies, que j'aimerais prendre le temps de vous raconter mais le mieux est encore de les découvrir en lisant le livre."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Malheureusement, il ne s'agit pas d'un conte de fées avec happy end et il y a pas mal d'éléments énervants dans la fin de cette histoire mais qui sait, d'autres rebondissements sont peut-être encore à venir."

     

        Mlle Alice, merci, et à samedi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques des éditions Marchialy ICI

     

    Alors, vous craquez pour "Le Voleur d'Art" ?

    Catégories : Lire des Biographies 2 commentaires