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  • The Children Who Lived in a Barn d'Eleanor Graham

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    • persephone books, the children who lived in a barn, Eleanor Graham, littérature jeunesse, littérature anglaiseMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec The Children Who Lived in a Barn ?

       "Un jour, j'aurai tous les Persephone Books. En attendant, celui-ci est le tout premier Persephone gris que j'ai acheté. J'ai été attirée par le fait qu'il s'agit d'un roman jeunesse, assez court, et également par la beauté du motif choisi pour illustrer la couverture intérieure."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Mrs Dunnet doit se rendre en urgence au chevet de sa mère et son mari n'envisage pas de la laisser voyager seule, même s'ils n'ont personne pour garder leurs cinq enfants. Après tout, Susan a déjà treize ans, et ce n'est que pour quelques jours..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "J'ai beaucoup apprécié cette petite histoire mais d'une manière différente de la plupart des Persephone que j'ai lu à ce jour. Je la décrirais plutôt comme étant d'une charmante simplicité et sachant qu'il s'agit d'un roman jeunesse, ce n'est pas très étonnant. Quoi qu'il en soit, on se laisse facilement embarquer dans les malheurs de Dunnets et on se prend rapidement d'affection pour Susan sur qui repose un fardeau bien lourd. Pourtant, à aucun moment on ne bascule dans le pathos, à aucun moment ce livre ne s'avère réellement triste et c'est ce qui est interessant, le courage de ces enfants, leur inconscience un peu aussi, et la façon dont ils vont surmonter vaillamment chaque petite difficulté du quotidien. Up the Dunnets !"

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Les pages se tournent facilement parce qu'on veut savoir comment tout cela va se terminer et c'est certes émouvant mais honnêtement, les explications sont assez faibles. On sent que l'auteur ne s'est pas vraiment donnée la peine de rendre plausible ce qui n'était qu'un ressort narratif. C'est bien dommage pour le lecteur adulte."

     

        Mlle Alice, merci, et à jeudi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques des Persephone Books ICI

     

    Alors, vous craquez pour "The Children Who Lived in a Barn" ?

  • Une Année en Provence de Peter Mayle

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    • une année en provence, la provence, peter mayle, la trilogie provençale, un anglais en provence, Nil éditionsMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Une Année en Provence ?

       "C'est un livre que j'ai toujours eu envie de lire, tout en craignant un peu de ne pas apprécier ce que j'allais y trouver. Finalement, la jolie réédition de Nilréussi à me faire sauter le pas."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Peter Mayle et sa femme viennent d'acheter une maison dans le Luberon et il nous raconte, mois après mois, les anecdotes de cette première année dans le Sud de la France..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Comme je le disais, j'ai toujours eu envie de lire ce livre, je l'ai toujours vu dans la bibliothèque familiale et puis, je suis un pur produit de Provence ! Mais j'avais un peu peur de ce que j'allais y trouver. J'ai déjà vécu une expérience très mitigée de lecture en compagnie d'un anglais critiquant la France et les français, très peu pour moi merci (oui, comme tout français qui se respecte, j'aime critiquer mon pays mais je n'accepterais pas ça d'un étranger (un anglais en plus !!)). Bref, quoi qu'il en soit, Peter Mayle n'est pas Stephen Clarke ! Peter Mayle aime la France, la Provence en particulier et même, plus précisément, le Luberon. Il aime aussi foncièrement les gens et ça se sent. S'ils nous dépeint des personnalités hautes en couleur et des situations ridicules, ils ne se moquent pourtant jamais, ne méprise ni le paysan du coin, ni ses croyances ou ses traditions, il se contente de nous faire partager sa nouvelle vie avec beaucoup d'humour. Un pur régal, et un livre qui donne faim également."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Si vous rêvez de Provence mais qu'il vous est difficile de bouger de votre canapé pour le moment, Peter Mayle est le remède idéal. Quant à moi, j'ai beaucoup de mal à ne pas enchaîner avec le tome suivant, et je vais sûrement aller faire un petit tour dans ma région <3 ."

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...

     

    Alors, vous craquez pour "Une Année en Provence" ?

    Catégories : Lire en Légèreté 0 commentaire
  • Miss Sharp Détective - Meurtre à Sunset Hall de Leonie Swann

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    • miss sharp détective, meurtre à Sunset hall, Leonie Swann, cosy mystery 3' âge, cosy Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Meurtre à Sunset Hall ?

       "Il y a peu de cosy mysteries auxquels je résiste ces derniers temps, même si, la production s'accélèrant pour cause d'effet de mode, la qualité finira forcément par s'y perdre. En attendant, une jolie couverture, une auteure qui a déjà fait ses preuves et des héros du troisième âge ne pouvaient que me donner envie."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Agnès Sharp a décidé de faire de sa maison une colocation du 3' âge, on pourrait même dire du 4', et espère bien y finir ses jours paisiblement mais quand les meurtres de vieilles dames se multiplient autour d'elle et que la police ne fait rien d'autre que la soupçonner, elle se voit obliger d'enquêter, comme à la grande époque..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Pour commencer, j'ai eu un peu de mal à entrer dans l'histoire, à démêler qui était qui mais aussi qui était un animal et qui était un humain... Si les choses s'éclaircissent ensuite, un brouillard persistant nous empêche de vraiment distinguer les contours de chaque personnage. J'appelle ça du faux mystère. Je ne trouve pas que cela apporte quoi que ce soit à l'intrigue que d'être volontairement flou sur les héros. Ça m'empêche même de m'identifier ou de me projeter et c'est ce qui aurait pu faire basculer ma lecture positivement. Parce que bien sûr, il y a beaucoup d'humour, le cadre est chouette, les idées sont bonnes mais on reste comme à distance. Ne vous attendez pas non plus à des petits vieux en pleine formes qui courent à droite, à gauche comme des jeunots de soixante ans mais à vous de voir si ce côté très réaliste de leur état de santé vous séduit ou vous déplaît. Enfin, dès le départ, je n'ai eu absolument aucun doute sur l'un des éléments de l'histoire, et j'ai deviné l'identité du meurtrier plus deux cents pages avant la fin."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Aucune surprise, j'avais bien deviné la totalité des éléments et j'en sais toujours aussi peu sur les différents personnages. En bref, j'aurais aimé moins de mystère autour d'Agnès et de ses amis et un peu plus autour de l'identité de meurtrier. Je ne pense pas continuer cette série."

     

        Mlle Alice, merci, et à jeudi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques de cosy mysteries du 3' âge ICI

     

    Alors, vous craquez pour "Meurtre à Sunset Hall" ?