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hanguk - Page 8

  • Les Petites Épiceries de mon Enfance de Lee Mekyeoung

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    • lee mekyeoung, les petites épiceries de mon enfance, album, beau livre, hanguk, livre sur la coréeMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Les Petites Épiceries de mon Enfance ?

       "C'est un livre dont la beauté des dessins m'a tout de suite attirée et que j'aurais certainement acheté peu importe le sujet mais comme, en plus, il m'emmène sur les routes de Corée du Sud, il était évident que sa place était dans ma bibliothèque."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Pendant plus de vingt ans, Lee Mekyeoung a parcouru son pays à la recherche de ces petites épiceries, pour les dessiner et garder une trace de ces commerces qui ont aujourd'hui tendance à disparaître..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Ce livre est un petit bijou. Les dessins sont d'une grande délicatesse, tous plus beaux les uns que les autres, et vous pouvez passer des heures à les admirer, à observer le moindre détail, ou encore à essayer comme moi de déchiffrer le nom de chaque épicerie. Beaucoup de ces bâtiments ont disparu aujourd'hui au nom de la modernisation et ce témoignage de leur existence est très émouvant. Et ce à quoi je ne m'attendais pas forcément, c'est que le texte qui les accompagne est tout aussi beau et touchant, emprunt de poésie et de nostalgie. Il y est question de l'enfance, de nos souvenirs et de tous ces moments envolés à jamais."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "J'ai adoré. J'ai maintenant envie de parcourir moi-même toute la Corée à la recherche de ces petites épiceries. Mais ce témoignage du temps qui passe ne se limite pas à ce pays, il est universel, et les oeuvres de l'artiste s'adressent à tous et plairont, je pense, à beaucoup."

     

        Mlle Alice, merci, et à samedi prochain...

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    Alors, vous craquez pour "Les Petites Épiceries de mon Enfance" ?

  • White Blood, Volume 3 à 5 de Lim Lina

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    • white blood, park Hayan, Lim Lina, mangea, manga coréen, Corée du sud, hanguk, passion coréeMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec White Blood ?

       "J'avais bien aimé les deux premiers tomes mais le temps passant, l'envie d'acheter le suivant ne se faisait pas sentir. J'ai donc finalement décidé de continuer la série directement sur l'application Webtoon."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Hayan et Euntae continuent à enquêter sur des phénomènes qui se produisent autour d'eux pour se rapprocher des vampires les plus puissants et se débarrasser d'eux..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Le problème c'est que l'intrigue est très linéaire. L'autrice ne semble pas vouloir gérer trop de personnages à la fois, trop d'arcs narratifs différents, alors tout les éléments sont présentés les uns après les autres, ce qui rend le tout assez plat. Dans les premiers temps, j'aime toujours, surtout Hayan, de plus en plus forte, le genre de personnage féminin dont on a besoin, le flic et sa petite soeur aussi, mais le fait que je n'ai pas acheté la version papier en dit quand même assez long. Et puis est arrivé le tome 5, que j'ai vraiment trouvé en-dessous des autres et qui m'a donné envie d'arrêter ma lecture, alors même qu'en termewhite blood,park hayan,lim lina,mangea,manga coréen,corée du sud,hanguk,passion corée d'intrigue, on approche enfin le coeur du problème. J'ai préféré faire une petite pause dans ma lecture en ligne, pensant la reprendre un peu plus tard pour lire les trois derniers tomes, mais ça n'est finalement jamais arrivé. Moi qui suis très curieuse pourtant et qui déteste ne pas terminer une série, à aucun moment je n'ai ressenti le besoin d'y revenir, ni regretté de ne pas le faire. Je vais donc m'arrêter là."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Ce n'est définitivement pas un coup de coeur, je crois qu'on l'aura compris. Ce n'est pas mauvais du tout mais je pense que je n'étais pas le coeur de cible de cette série et comme beaucoup d'autres me tentent, autant ne pas s'attarder."

     

        Mlle Alice, merci, et à samedi prochain...

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    et toutes celles des livres autour de la Corée, par LÀ

     

    Alors, vous craquez pour "White Blood 3" ?

    Catégories : Lire en Images 0 commentaire
  • 80 Mots de Corée du Sud de Martine Prost

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    • 80 mots de Corée du Sud, asiathèque, Martine Prost, passion corée, Corée du Sud, passion hanguk, hangukMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec 80 Mots de Corée du Sud ?

       "Tout ce qui concerne la Corée du Sud finit tôt ou tard dans mes wishlists, j'ai donc été ravie que ce livre soit proposé à la dernière masse critique non fiction de Babeliol'occasion parfaite pour le découvrir."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "La Corée du Sud à travers 80 mots qui dessinent les contours de son histoire, de sa culture et de son peuple..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "La rencontre réussie entre ce livre et moi n'a pas eu lieu mais je suis consciente que c'est essentiellement à cause de mes attentes. J'étais vraiment intriguée par cette collection qui se décline avec d'autres pays et d'autres langues. Je pensais qu'il s'agissait à la fois d'une porte d'entrée vers la Corée et vers les ouvrages de l'Asiathèque, une ouverture au grand public en somme mais il ne m'a pas semblé que c'était le cas. Le niveau est plutôt soutenu et si je ne connaissais pas déjà le sujet, j'aurais souvent été perdue. Et puis surtout il s'agit en fait, et la quatrième de couverture ne mentait pas sur le sujet d'ailleurs, d'une histoire de souvenirs et de ressentis, ceux de l'autrice elle-même. C'est sa vision à travers des anecdotes, de sa vie actuelle là-bas comme de sa première découverte du pays dans les années 70, et à travers ces 80 mots bien sûr, et parfois leur étymologie, Martine Prost étant docteur en linguistique. C'est loin d'être inintéressant, l'alchimie n'a juste pas fonctionné sur moi.

       Pour finir, sur une petite note amusante, l'autrice évoque à deux ou trois reprises les français en comparaison aux coréens et je me dis qu'on ne doit vraiment pas connaître les mêmes français."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Je n'oublierai pa마음, le coeur, j'ai beaucoup aimé cette description là, et rien que pour cela je relirai sûrement ce recueil à un moment où je serai peut-être plus réceptive. J'ai également toujours autant envie de découvrir d'autres ouvrages de la collection comme celui sur l'Inde ou sur le Vietnam par exemple."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

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    Alors, vous craquez pour "80 Mots de Corée du Sud" ?

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