Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Lire en Anglais - Page 9

  • Tower de Bae Myung-Hoon

    Imprimer
    • tower, bae myung-hoon, roman coréen, littérature coréenne, hanguk, passion corée, Corée du Sud, passion hangukMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Tower ?

       "Au milieu de toutes mes recherches de littérature coréenne, une couverture aussi belle ne pouvait pas passer inaperçue. Le côté science-fiction m'attirait aussi même si je n'en lis pas souvent."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Beanstalk est une tour de 674 étages, nation souveraine accueillant plusieurs milliers d'habitants, avec son pouvoir, sa corruption et ses problèmes comme partout ailleurs dans le monde..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Je voudrais commencer par dire que côté science-fiction, c'est très léger, tout est dit dans le résumé. Et à part les noms des personnages peut-être, ce roman pourrait se dérouler dans n'importe quelle partie du monde. Donc, si vous n'êtes ni un fan de science-fiction, ni un fan de la Corée du Sud, rien ne vous empêche de le lire quand même. Et franchement, vous auriez raison de le faire parce que c'est fin et intelligent, parfois drôle, parfois extrêmement touchant. Comme dans un recueil de nouvelles, j'ai aimé certaines histoires plus que d'autres. En fait, je n'en ai pas comprise une, aimé deux et adoré deux autres. Je trouve qu'on est plutôt sur un bon ratio. J'ai apprécié l'humour de l'auteur (dont la blague récurrente du chien, excellente), mais il a aussi réussi à me faire verser une larme. J'ai été conquise par son imagination, le monde qu'il met en place sans jamais s'y perdre, et la critique sous-jacente du pouvoir et de la politique. La seule chose manquante entre le coup de coeur et moi, ce sont des connections bien plus fortes entre les différents personnages. C'est le petit élément que j'ai attendu en vain."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Même si chaque chapitre est presque une nouvelle, l'auteur nous offre une vraie fin, et une fin aussi pleine d'ironie et d’humanité en même temps que le reste de son livre. Et que dire des appendices... Encore un livre que je regrette de ne pas pouvoir vous conseiller en français !"

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques autour de la Corée du Sud ICI

    et toutes celles sur la littérature coréenne, par LÀ

     

    Alors, vous craquez pour "Tower" ?

  • The Story of the Country House de Clive Aslet

    Imprimer
    • the story of the country house, Chatsworth, pemberley, clive aslet, a history of places and people, histoire d'Angleterre Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec The Story of the Country House ?

       "J'étais tombée en amour devant cette couverture en explorant les nouvelles sorties à venir et le livre avait directement rejoint ma petite liste au père noël."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "De l'époque médiévale à nos jours, Clive Aslet décortique l'histoire de la maison de campagne en Angleterre et au Royaume-Uni, et explore à travers elle différents sujets comme la royauté, les tendances, l'émergence de l'architecture..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Je pense que c'est typiquement le genre de livre pour lequel je n'aurais pas craqué si j'avais pu le feuilleter en librairie. Je ne m'attendais pas à quelque chose de si dense, ni de si académique. Et après la lecture, ce sont des éléments que je continue à regretter. Si le pays, et ses magnifiques demeures, me passionne, c'est moins le cas de l'architecture elle-même. J'ai donc était très intéressée par certains passages et beaucoup moins par d'autres, forcément. Mais j'avais tort de m'inquiéter malgré tout parce que cela reste une lecture accessible. Je n'ai pas souffert sur des longueurs ou des passages abscons et l'auteur à même de l'humour mais après tout, c'est un anglais. En revanche, le peu de photos et illustrations (et souvent petites et de piètres qualités) reste pour moi une erreur dans ce genre d'ouvrage. Je veux bien entendre parler pendant des pages d'une demeure, des plus petits détails de sa construction et de chaque matériau utilisé mais si je ne la vois pas de mes yeux, cela perd quand même beaucoup de son attrait."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "J'en sors riche de nombreuses connaissances que j'aurai sûrement très bientôt oubliées mais ça ne m'empêche pas d'avoir apprécié cette promenade dans la campagne anglaise."

     

        Mlle Alice, merci, et à samedi prochain...

     

    Alors, vous craquez pour "The Story of the Country House" ?

  • All Creatures Great and Small de James Herriot

    Imprimer
    • all creatures great and small, modern classic, James Herriot, littérature anglaise, campagne anglaiseMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec All Creatures Great and Small ?

       "C'est, comme très souvent, grâce à Miranda Mills que j'ai eu envie de découvrir ces mémoires. La campagne anglaise a, de toutes façons, presque toujours un attrait irrésistible sur moi."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "James Herriot était vétérinaire dans le Yorkshire au siècle dernier et nous relate ses aventures dans ce métier, depuis son premier poste d'assistant, dans les années 30..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "J'ai aimé tout ce que j'ai lu. C'est bien écrit et Herriot ne manque pas d'humour, et même de dérision, étant bien souvent lui-même au centre des scènes les plus ridicules. C'est le genre de chroniques qu'il serait vraiment amusant de lire chaque dimanche dans le journal, et qu'on aurait hâte de retrouver. Mais sous forme de livre, c'est tout de même plus ardu. Et assez répétitif. Le téléphone sonne au milieu de la nuit, le vétérinaire part soigner une vache chez un fermier bourru et accomplit des miracles ou se ridiculise, c'est selon. Parfois, il fait même les deux ! Les seules aventures qui sortent de ce schéma sont les disputes de son patron avec son frère et là aussi, on tourne assez vite en rond. J'ai donc fini par le poser pour ne le reprendre que plus tard, et finalement, après plus de 350 pages, James Herriot rencontre quelqu'un. Ce n'est pas que je tienne absolument à la romance dans toutes mes lectures, mais un livre avec un but, une évolution, donne tout de même plus envie de tourner les pages."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Le dernier tiers s'est lu tout seul et je suis ravie de ne pas avoir abandonné avant. J'ai hâte de découvrir maintenant l'adaptation mais je m'en contenterai également pour connaître la suite de l'histoire."

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...

     

    Alors, vous craquez pour "All Créatures Great and Small" ?