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Lire en Anglais - Page 7

  • 311 Pelican Court de Debbie Macomber

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    • 311 pelican court, cedar cove, Debbie macomber, cosy reading, livre doudou, feel good bookMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec 311 Pelican Court ?

       "C'est mon amour pour la série Retour à Cedar Cove qui m'a donné envie de me plonger dans celle-ci, du même auteur, qui se passe quelques années avant dans la même ville. Après un premier tome que j'ai beaucoup aimé, et un deuxième un tout petit peu plus en demi-teintes, je continue ma découverte."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Olivia fait de nouveau sensation au tribunal avec l'une de ses décisions inhabituelles. Alors que Rosie et Zach ont mis des mois à trouver un accord pour leur divorce, elle le rejette et octroie l'occupation de la maison aux enfants, obligeant les parents à déménager sans arrêt plutôt que le contraire. Un arrangement qui ne leur convient pas du tout évidemment..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "J'aime les livres avec beaucoup de personnages, surtout lorsqu'il s'agit de nous décrire l'ambiance d'une petite ville. J'aimais aussi l'idée de les rencontrer tous puis d'apprendre à connaître l'un ou l'autre à travers les différents tomes de cette série. Le problème ici, c'est que l'on commence vraiment à avoir beaucoup d'intrigues différentes non résolues, on s'éparpille et on s'éloigne de ceux que l'on aimerait vraiment suivre plus attentivement. Cela m'a vraiment empêchée de rentrer complètement dans l'histoire, ce papillonnage incessant d'un couple à l'autre. Et pour ne rien arranger, j'ai passé mon temps à lever les yeux au ciel. Cinq minutes de franche discussion, les yeux dans les yeux, et de fierté mise de côté, suffiraient à régler 95% des problèmes de ce roman. Ça me peine de ne pas avoir accroché plus que cela parce que j'adore toujours autant l'ambiance de Cedar Cove (et parce qu'il y a encore de nombreux tomes que j'ai déjà dans ma PAL !). J'espère vraiment que ce n'est que passager."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "J'ai aimé la fin parce qu'avec la résolution de plusieurs noeuds narratifs, l'autrice sait jouer avec nos sentiments mais il n'y évidemment pas de grandes surprises. J'ai malgré tout hâte de lire la suite pour retrouver tous les personnages et voir s'éclaircir tous les mystères."

     

        Mlle Alice, merci, et à samedi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques des livres de Debbie Macomber ICI

    et toutes celles de la série Cedar Cove, par LÀ

     

    Alors, vous craquez pour "311 Pelican Court" ?

  • Love in the Big City de Sang Young Park

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    • love in the big city, sang young park, romance, romance gai, kdrama, littérature coréenne, passion corée, Corée du SudMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Love in the Big City ?

       "Je crois que c'est le seul roman coréen traduit que j'ai trouvé à ce moment-là qui est une romance contemporaine (c'était avant la sortie de l'Odeur des Clémentines Grillées), il était donc évident qu'il allait se retrouver entre mes mains tôt ou tard."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Young nous emmène avec lui au coeur de sa vie de jeune homme gai à Séoul. Au travers de quatre épisodes différents, il nous parle d'amour, d'amitié mais aussi de sujets difficiles comme l'avortement, le sida ou encore le cancer de sa mère..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Ce n'est pas ce à quoi je m'attendais. Je sais, je dis ça tout le temps dès qu'il s'agit de littérature coréenne. Parfois la surprise est bonne, parfois un peu moins, mais c'est aussi ce que j'aime, être déroutée. Je m'attendais à un roman donc, on peut sûrement considérer que ça en est un d'ailleurs, mais ce sont en fait quatre nouvelles autour du même héros qui ont été rassemblées ici, et ça se sent. Je m'attendais aussi à une romance et pour moi, ça n'en est pas une. Enfin, je m'attendais à quelque chose de beaucoup plus joyeux. Ce n'est donc pas un livre que je mettrais entre toutes les mains mais j'ai malgré tout apprécié ma lecture. Ce genre de récit n'est pas commun en Corée du Sud, peut-être ne l'est-il pas assez chez nous non plus, et les sujets abordés ici me semblent essentiels pour la communauté queer, et pas que. C'est d'ailleurs ce qu'il ressort de la note de l'auteur et de celle du traducteur à la fin, que j'ai trouvé l'une et l'autre très interessantes. Et j'en profite pour dire que j'ai trouvé la plume belle et efficace, ce qui est sans doute imputable à l'un comme à l'autre."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Avec une petite note d'espoir."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques autour de la Corée du Sud ICI

    et toutes celles sur la littérature coréenne, par LÀ

     

    Alors, vous craquez pour "Love in the Big City" ?

  • Bibliophile, Diverse Spines de Jane Mount et Jamise Harper

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    • bibliophile, diverse spines, Jane mount, jamise harper, books about booksMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Bibliophile, Diverse Spines ?

       "Le premier ouvrage de Jane Mount, Bibliophile, dans la même veine, ayant été un énorme coup de coeur, il était évident que je n'allais pas passer à côté de celui-ci."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Cette fois, l'illustratrice est accompagnée de Jamise Harper pour prôner la diversité, mettre en lumière des auteurs marginalisés, et permettre aux lecteurs oubliés de s'identifier également..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "J'avais commencé ce livre une première fois, toute à mon impatience de découvrir de nouveaux auteurs, mais quelle n'avait pas été ma déception de n'entendre d'abord parler que de Tony Morrison ou Paolo Coelho, déjà bien connus. Mais avant d'élargir le champ des possibles, sûrement fallait-il débuter par les classiques, les évidences. Je suis donc passer outre et bien sûr que je me suis régalée. Bien sûr que j'ai adoré une nouvelle fois parcourir ces piles et ces piles de livres à la recherche d'un titre qui attirerait mon attention, bien sûr que j'ai aimé entrendre parler de sujets bien plus divers que ceux qui sont abordés habituellement... Et ma récente passion pour la Corée du Sud m'a encore plus donnée envie de tourner les pages pour découvrir de nouveaux titres. Mais voilà, parfois les clichés n'existent pas sans raison et ici, force est de constater que les américains n'envisagent la diversité, à travers des auteurs queer, noirs, natifs, latino et autres, qu'à conditions qu'ils soient... américains. Ce n'est peut-être pas 100% vrai mais je peux vous dire par exemple que la totalité des auteurs coréens cités sont en fait américains, d'origine coréenne, ce n'est quand même pas la même chose. Est-ce que ça m'a empêchée d'apprécier ma lecture ? Pas du tout, ça reste un super bouquin mais c'est quand même dommage d'être si limité dans un livre sur la diversité."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "J'aurais peut-être aimé aussi qu'on parle plus de romans, alors qu'il y a bien sûr beaucoup d'essais, de biographies et autres mais si on sait à quoi s'attendre, je le recommande les yeux fermés. De quoi faire exploser votre wishlist."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques des livres de Jane Mount ICI

    et toutes celles de livres qui parlent de livres, par LÀ

     

    Alors, vous craquez pour "Bibliophile, Diverse Spines" ?